Parmi les astres propices d’un ciel céruléen
Je m’assoupis rêveuse conservant cette main
Qui me rassure et me berce chaleureusement,
Qui m’apaise et qui me tient amoureusement.
Ton souffle s’échoue sur les courbes de ma nuque,
Un vent de volupté dans des caresses abruptes,
Et me voilà rejoindre les doux bras de Morphée,
Qui dans une telle étreinte m’emmène au loin rêver.
Et je te rejoins mon amour parmi tant d’illusions,
Dans une osmose parfaite dont tu es la raison
Je sais que tu es là , tu ne me quitte jamais,
C’est si bon dans tes bras de pouvoir tant rêver.
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