la sonate..
quand se tait le piano
rien de tel, qu'un enfant émerveillé, qui pose ses doigts
sur l'ivoire..
alors le vieux piano , au souffle éteint
recommence à chanter,
c'est un magnifique poète
Mes doigts ne joueront plus, le clavier s'est éteint.
Je mourrai malheureux, puisque meurent mes mains.
Mais l'enfant au piano fais revivre les pages,
Et le maître renait, emporté par l'orage,
Et le maître revît, et son vieux coeur éclate
L'élève lui à offert sa plus belle sonate.
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EVELYNE NADINE