Errance dans le sable...
Errance dans le sable…
C’est en parcourant la Terre, endormi, solitaire et perdu,
Que je me suis trouvé, errant au cœur des songes et des nues,
Sur une plage de rêve, d’une quiétude ô combien infinie,
Sur des rivages de trêve, car ici il n’y avait pas de vie…
Versant des larmes de tristesse, en souvenir du passé glorieux,
De ces lacs de sable, aux paysages autrefois verts et joyeux,
De ces montagnes changeantes, si dangereuses et géantes,
De ces vagues insolentes, pour le voyageur et d’amiante…
Ils sont braves ceux-ci, parcourant les déserts de ce monde,
Ils ne pleurent plus, faute de larmes pour l’avenir immonde,
Que construisent les grands, les puissants et malheureux,
Ces fiers hommes des sables, dont le cœur est si valeureux…
Foulant de leurs pieds l’avenir, sous un regard fait de feu,
Enfants des étoiles, guidés par leurs ancêtres courageux,
Là où nul ne survit, il trouve le plus grand des trésors enfouis,
Nul argent ou richesse, autre que ce liquide qui donne la vie…
Hommes simples, pourtant menacés par leur innocence,
Ils sont pris à la gorge, voyant la haine mais aucun sens,
Seuls épris de leur famille, de Dieu et de la providence,
Seraient t’ils les seuls, à comprendre de la vie l’essence ?
Et au rythme d’une musique venant du fond des âges,
Ils reprennent la route, laissant derrière eux les présages,
Espérant toujours une vie meilleure, avec un peu de cœur,
Priant pour les autres, qu’ils découvrent un jour le leur…
HwL
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Tel l'amour, une rose est un bouton qui s'ouvre mais ne se referme jamais
Il peut mourir ou dépérir,
Mais toujours il renaît malgré le temps,
Car son souvenir est éternel…
Hwl.
