Petites narines
Saupoudrées de cocaïne
Accorderas-tu aux gars de la Narine
Un certain manque d’Héroïne ?

Je me souviens de ma jeunesse
Toxicomane,
Des larmes, des fesses, de la détresse,
Et de cet argent de merde à faire la pute, la nymphomane.

Qu’elle est loin mon enfance,
Les colin-maillard, les tendres rires.
Qu’elle est loin mon enfance,
Et ses premiers sourires.

Je me souviens
De ma première cigarette,
Non pour dire « Toi mon amour viens ! »
Mais pour cacher ma haine, elle, ma vedette.

Et quand je pleure aujourd’hui
Le soleil m’ignore davantage,
La lune produit son honteux bruit
Et je me plonge dans un ultime âge…

Alejandro

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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".

Chaque jour est une petite mort ...le temps s'enfuit et ne revient pas
Mais chaque jour est aussi une nouvelle naissance, un regard nouveau, une marche en avant...mais toute naissance est difficile...Il faut beaucoup de courage pour vivre ces renaissances!

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MON BLOG:
http://marie-aupaysdesimagesetdesmots.blogspot.fr/

Voila un poème du désespoir qui je l'éspère n'est pas une fin mais un sursaut vers la rédemption.
HONORE

la vie est le flux,
la mort le reflux.
vous me donnez l'espoir,
à moi de savoir

merci. Alejandro

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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".

Il arrive qu'on passe par de mauvais moments dans notre vie, des moments difficiles voir meme terrible à supporter, mais avec le temps on peut comprendre les choses et........on respire; et tant qu'on respire on commence à sentir qu'on doit vivre...comme ça commencera le chemin de l'ascension.

Ses souvenirs on ne pourra jamais les ignorer, les oublier , il faut juste les accepter, accepter son enfance , sa jeunesse, ses fautes et ses péchés mais dans l'effort de réaliser le mieux pour soi meme d'abord et pour tout ceux qu'on aime et qui nous aime ....surement.

ça commence comme ça , en parlant d'un passé amer puis après le deuil , la nouvelle vie tracera son chemin.

courage alors , tu n'es pas loin .

avec toute mon amitié

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Il n y a d'autre monde que le monde spirituel. Ce que nous appelons le monde sensible est le mal dans le monde spirituel et c que nous appelons mal n'est que la nécessité de notre éternelle évolution .

chère Samarkand, je sais que tu es dans le vrai car il s'est passé une chose formidable aujourd'hui. je suis allé boire le café chez un couple d'amis. ce fut formidable. nous avons discuté durant tout l'aprés-midi, il faisait doux, le soleil nous caressait de sa chaleur et c'était formidable. oui je crois que je rejoins le monde du bonheur. merci pour ta gentillesse et ton réconfort.

Alejandro

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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".

Je suis contente pour toi Alejandro, je savait que tu pourrais re trouver le soleil, ce n'est qu'un début ... sache seulement que sur cette Oasis tu trouvera toujours le confort , exprime toi et en cas de besoin n'oublies pas qu'on est là...je suis là aussi .

Beaucoup de bonheur à toi

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Il n y a d'autre monde que le monde spirituel. Ce que nous appelons le monde sensible est le mal dans le monde spirituel et c que nous appelons mal n'est que la nécessité de notre éternelle évolution .

je suis fier d'être un oasien et d'avoir pour amis tous les oasiens et oasiennes. merci samarkand.

Alejandro

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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".

Hélas de nos vies, il n'y a pas de sauvegarde, de ralentis ou de marche arrière, tout est au présent. C'est ainsi que tout nos choix, nos conneries sont indélébiles. Les bons moments deviennent souvenir, le temps va et tout s'en va (nous dit Léo), le passé demeure intouchable, l'enfance un mythe.

Fuir n'est pas un remède, c'est un antidouleur non sans effets secondaire. Mais ont s'accrochent à la vie comme des huitres à leurs rochers.


Aathahorus

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Il n'y a pas d'amour, pas de douleur, pas de jours heureux et de malheur sans vie.

merci Aathahorus de me faire songer de nouveau à ce poème qui n'est pas récent, mais qui à l'avantage d'être une pure fiction.

ultime

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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".