Désolé pour le retard, mais déménagement oblige, y a fallu attendre le transfert de ligne de la part d'Orange (qui a l'air de s'être grandement amélioré dans les délais).
Voici donc la première partie de la trilogie finale ^^
Le plan de Bal (1/3)
Résumé de l'épisode précédent : Une catastrophe vient d'être évitée, grâce au professionnalisme et au pistolet à crème chantilly (faite maison) de Sam. Cependant, une autre menace plane sur le QG de Stargateau. En effet, selon les dires de maitre Larn'ac, Bal prépare un gros coup. De son côté, Sam, de plus en plus enceinte, se sent follement attirée par le général O'Mill et ses 250 kilos (tout nu), en particulier lorsque son visage est tout maculé de gâteau. Comment vont évoluer les choses ?
Et voici la suite...
Sam arriva en courant aussi vite que le lui permettait son ventre. Jack, à quelques mètres derrière elle, essoufflé, dit :
-Catcar...att...attendez-moi...c'est...un ordre...
Surpris, Daniel se retourna, et sembla refermer sa braguette. Il dit :
-C'est bien, petite, tu peux aller te rhabiller, maintenant...
La petite fille sortit du bureau de Daniel en trottinant, toute contente.
-Daniel, c'est terrible ! cria Catcar.
-Daniel, si vous continuez, ses parents vont finir par porter plainte...dit Jack.
-Moui, c'est possible, répondit Daniel, un peu gêné.
Sam exposa la situation. Vraisemblablement, Bal allait attaquer directement Stargateau. Jack avait ordonné qu'on dévore vite toutes les portes, et qu'on condamne toutes les issues. L'état de siège était instauré. Daniel se dépêcha donc de s'asseoir. Désormais, et jusqu'à la fin de l'attaque, interdiction formelle de se déplacer debout. Tous en chaises roulantes. Ce fut avec un gros soupir de soulagement que Jack s'assit. Pendant ce temps, Meal'c, dans sa chambre, dégustait une crème au riz. Eh oui, rien de tel qu'une bonne crème au riz, après un gros Krémori...
Soudain, l'alarme retentit. Jack et Sam se précipitèrent, en roulant, jusqu'au pied de la salle de commandes. C'est amusant, les fauteuils à roulettes, mais pour monter les escaliers, c'est pas trop ça. Bal venait d'entrer en communication avec la base.
-Je vous contacte pour discuter des termes de votre reddition. Vous avez une heure. Si, au bout de ce délai, vous restez silencieux, alors j'attaquerai. Fin de la communication.
Jack ordonna à tous les cuisiniers de se mettre au travail. Il se permit même de rajouter ce trait d'esprit, plus que discutable (mais à vous de juger) :
-Va y avoir du pain sur la planche, ça va pas être du gâteau !
Une heure plus tard, tout était prêt, les fours venaient de faire DING ! Il ne restait plus qu'à charger. Jack supervisait les opérations.
Meal'c, avec sur le dos, deux énormes bombonnes de crème chantilly (faite maison), et le pistolet à la main, avançait prudemment dans le dédale de Belfast-food. L'air sentait la friture, la sauce barbecue et le sundae. Meal'c eut un haut-le-coeur. Comment avait-il pu un jour être l'esclave de toutes ces merveilles...de toutes ces cochonneries ?
Pendant ce temps, Ã la base...
-Vite, des pelles, encore des pelles !! hurlait Jack.
Il restait beaucoup de gâteaux à lancer, et les pelles manquaient. Mais Daniel eut une idée. Grâce au tourneur-fraiseur (qui servait donc à tourner les fraises), il réussit à rouler une pelle. Il la lança à un cuisinier, qui, s'en saisissant, balança un gâteau aux myrtilles et framboises sur le dernier burger thrower. Enfin, la bataille à la base était terminée. Tous les burger throwers venaient d'être anéantis, leurs précieux hamburgers arrosés de patisseries. Mais loin d'ici, à Belfast-food, Meal'c allait devoir mener le combat de toute sa vie...
Contre qui Meal'c va devoir combattre ? Jack va-t-il réussir à se lever de son fauteuil ? Daniel va-t-il réellement être trainé en justice à cause de ses expériences licencieuses avec la petite fille ?
Vous le saurez dans le prochain épisode de STARGATEAU, L'EQUIPE SG-1, LA MEILLEURE DE TOUTES !!!
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"Les mots peuvent être plus durs que la pierre et plus tranchants que la plus aiguisée des lames. Mais ils peuvent être aussi doux que la caresse du vent sur ta joue, ou que le sourire de la personne que tu aimes. "
Mobius Sakurano.