O Sire puissent-ils voeux être enfin exaucés
Enfants clairs et métis en mille rues sourire
Et fontaines couler de sagesse enfantée
Des penseurs d'agoras nous demeurent les rires
Et les rites occidents frôlent vies anciennes
Pourquoi ne pas oser découvrir autre Vienne
Papa Freud le savait et la caverne aussi
Sophia n'a de prix que si elle est la vie
Un jour viendra bientôt de vraies fraternités
Il faudra nous offrir nous partager enfin
Cesser clameurs non sens querelles antiquités
Oser porter la toge en ces temps assasssins
Miles rendra les armes et les Pythies tairont
Oliviers et lauriers enfin se mêleront
Nous gravirons colline vers un temple apaisé
Le sourire de Buddha gagnera Colisée.
Ton Antigone for ever un brin provoc...-je te sais plus Platon que Platoon....::))
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"Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue:
Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue.
Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler:
Je sentis tout mon corps et transir et brûler."
Racine, "Phèdre"...