Chant d’amour mortQuand vient le temps de se dire au revoir
Quand le soleil couchant se transforme en soir
Quand vient la nuit, pourtant si belle, qui nous sépare
Les ombres effacent ton visage d’ange, où est l’espoir ?
Cœur contre cœur, pourrai je encore une fois te dire
Combien je t’aime quand les étoiles se reflètent dans tes yeux
Quand tu noies mes soupirs d’un de tes beaux sourire
Ou quand ton rire divin résonne dans les cieux ?
Mon espoir pleure, mon cœur a froid
Face à l’amour je suis perdu
Perdu à jamais, perdu en toi
Qu’aurais je pu être, que ne suis je plus
Je dois me rappeler une dernière fois
Ces quelques mots si doux qu’elle m’avait murmuré
A un tout autre temps, le bonheur était roi
J’ai cru ressusciter quand elle a dit m’aimer
Quand est venu le temps de te dire aurevoir
Quand le crépuscule bleu s'est fondu dans la nuit
Qui fait tomber les astres, t'effaçant dans le noir
Tu as tourné la tête et salué la vie
Dans ton regard de glace qui balayait les dieux
Il y avait un éclat que nul ne verra plus
La brume de cette nuit, t’auras fermé les yeux
J’ai voulu te sauver mais je ne l’ai pas pu
Doucement tu es partie, j’étais à tes cotés
J’ai vu ton cœur s’éteindre sans un bruit dans mes bras
Et j’ai voulu mourir quand tu as dit m’aimer
Quand tu m’as embrassé une dernière fois
A t’elle un sens, cette vie folle ?
Face à la mort, je suis perdu
Meurtri, décomposé, cloué au sol
Tel un oiseau blessé qui ne volera plus
Peut être chantera t’il, balayé par le vent
Cette douce complainte aux larmes de douleur
Survivra t’il un peu et quand viendra le temps
Disparaîtra aussi dans les ombres qui pleurent ?
L’espoir est mort, mon cœur a froid
Ma douce amie, où t’ai je perdue ?
Meurtri, décomposé, cloué en toi
Je souffre tellement, tu ne reviendras plus…
David
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Il y a plus en l'homme qu'une prison de chair
Et plus dans le destin que le fil des Parques
Plus dans l'amitié qu'une mode grégaire
Plus dans l'amour que la flèche d'un arc
