Re: Les Corbières... Ema et Kader...
Je m’incline devant tant de beauté
Quand le gondolier fredonne tel le rossignole
Dans son passage aux parfums d’aimer
Quand Venise se noie dans le bain de ses amours
Quand la couleur embrasse le mot
Je m’incline devant tant de beauté
Quand la ville perd son ciel
Dans les reflets du lac qui dort dans la colline
Quand la Camargue relâche ses joies cornées
Ivre de bonheur jusqu’au dernier raisin
Merci à toi Bibi, c'est une vraie joie pour moi de lire tes vers, c'est d'une beauté sublime et d'une raison juste...
Kader...