Sur le tapis volant qui nage
Sur la blancheur des rues d'Alger,
Elle me caresse de ses yeux mages
Avec mon coeur qu'elle veut manger...
Prise par la soif de sa folie
Et son bonheur qui désobéit,
Elle creuse le pacte du paradis
LÃ ou les verbes sont tous maudits,
Enterre ses veoux pour l'avenir
Dans les ténébres des vieux vampires...
Ton texte me plait beaucoup Elektra, la sculpture est majestueuse et invite à lire ce conte de "fée"... Merci à toi pour cette lecture ma chère amie...
kader.