Et submergèrent mes lèvres d'un fleuve de baisers.
D’un regard circulaire , vers l’espace infini des cieux
J'étais assis, regardant des étoiles d’amour, dans une plaine du ciel,
Nous nous inclinions sur l'eau, toi et moi ;
Tu me parlais, ni ne me regardait, mais touchait mon cœur, qui disait
Là certaine chose mystérieuse, qu'il avait à dire :
Nos regards seuls ,se trouvèrent silencieusement réfléchis
Dans la source profonde ; et ce chant devint
La voix éprise que je percevais ; et mes larmes retombèrent.
Et sous leur chute, tes yeux Amour devinrent
Ceux de la passions aimées ; De mon cœur.
De ton corps si purifié, alla à la source qui arrosait ton coeur.
Alors les obscures rides de l'eau, se transformèrent en une toison d’or ondulée,
Et tandis que je me baissais, tes lèvres d’amour émergèrent
Et submergèrent mes lèvres, d'un fleuve de baisers.
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