LA GUERRE DES ROSES.
La guerre des roses.
J'admire ce pouvoir que possède un cerveau.
Il permet d'oublier tout nos amours déçus.
Il formate et efface pour partir à nouveau,
Vers une relation aux attentes éperdues.
Il offre une alzeihmer et peu importe l'âge,
Et d'échec en échec, il remet sur l'ouvrage,
Un nouvel apollon dans une dorée cage,
Et pour "un de perdu..." Chacun connait l'adage.
C'est la fleur au fusil, le sourire au visage,
Que tel un bon soldat, en fier procréateur.
Il sort de sa tranchée pour un nouveau ratage.
Il repart au combat prêt aux mêmes erreurs.
Comment est il possible d'oublier nos débours ?
La douleur de l'abcès, la peine insoutenable.
Sommes nous incapables de conter à rebours?
Et d'oublier le pue qui reste sur la table.
Thierry