Métaphore de l’amour vacillant avec le temps qui passe.
Jeu d'enfant d'autre temps : déposer sur l'eau du ruisseau un bout d'écorce taillé en barque et piqué d'une bougie allumée.

Soupire en moi quelque fadaise,
Parle-moi de chiens écrasés,
De gens sans gêne et mal rasés,
Qui gâchent ton cœur mal à l’aise.

Chante-toi en blonde antillaise,
Qui dodine ses reins blasés
Dans un blues d’espoirs embrasés.
Soit brunette au regard de braise !

Attention ! La bougie se meurt,
Sur ce bout de liège sans heurt,
Qui vironne au gré de l’étiage.

Est-ce encor temps de le haler
Avec le lien du mariage
Sans que cède ce fil fractal ?

Bonsoir Cher Ami poète Jean Marie,

Ravie de ton retour parmi nous toutes et tous !

Magnifique sonnet en octosyllabes que j'ai beaucoup aimé lire !

Belles fêtes de fin d'année !



Belle soirée Cher Ami poète Jean Marie !
Toutes mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

- Merci pour ce partage...


Daniel

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Bonsoir Jaicemail

Des métaphores originales fortes d'images et très parlantes sur cet amour qui vacille.

Amicalement Franie

Bonne fin d'année

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Merci Sybilla, Franie, Danielm,
Je vais essayer de me faire moins rare.
Je vais lire vos belles choses.