D’un souffle de vos vies,
Nous sommes un jour nés
Et nos âmes ravies,
À vous nos mères jolies
Ne peuvent que l’aimer.
Vous mamans de nos vies,
Aux yeux de vos enfants,
Cette fleur embellie,
Cette fine perle d’orient.
Peu importe nos âges,
Pour crier le nom maman,
Ce mot jamais ne s’efface,
Toujours nous soutiendra.
Maman est ce mot si beau !
Le premier que l’on exprime,
Toujours et jusqu’à la mort,
C’est le mot qui en nous domine
Et la phrase qui termine.
Je n’ai plus de maman,
Mon cœur gémis la plainte,
Depuis dès années déjà ,
J’ai perdu ma toute sainte.
Je n’ai plus de maman
Et ma gorge se serre,
Les louanges de ma foi,
Lorsque je prie pour elle,
Montent vers le ciel.
Je ressens de la peine,
Elle ne l'entend pas,
Ni lit plus mes poèmes
Où je dis je t’aime maman.
Mon triste cœur naufrage,
Si se rompt son ancrage,
Toujours la cherchera,
Elle avait le courage,
Des hardiesses mamans.
D’une valeur inestimable,
Un amour imesurable,
Une complicité incomparable,
Une tendresse inégalable.
Mamans de toute la terre entière,
Et celles qui se reposent,
Comme ma perle précieuse.
Même un bouquet des roses,
Même d’une infinie beauté,
N’est qu’insignifiant à côté,
De toute l’immense bonté ;
Que vous savez si bien donner.
Par vos instincts maternels,
Vous mères amabilités,
Par la force d’un don naturel
Largement vous le surpassez.
Tout au creux de vos seins,
Croîtrons doucement nos vies,
Si nous sommes un jour nés,
C’est à vous qui vous devons la vie.
Bonne fête à toutes les mamans
Par cette modeste poésie.
Paquita