Doucement elle s'étire, gracieuse et effilée ,
Son drap ourlé de rêves nous la laisse deviner.
La voilà qui se lève et mutine boude le miroir,
Sur sa peau fine et claire s'accroche le peignoir
Vite une main dans ses cheveux au vent,
Un voile de parfum l'habille prestement.
Son bas monte et se perche devenant provocant .
Un soupçon de rose pointe et titille le cardigan.
La jupe tourne, ivre de sa taille libérée.
Un peu de bleu ici , ailleurs du rouge aussi.
Satisfaite elle s arrête, s'assied et sourit ,
Au miroir, fou de joie de la voir s'apprêter .
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NAMASTE
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