La première, L'État me l'a donnée contrainte et surtout forcé,
Les anciens bourreaux, cette nation à simplement rémunéré,
De l'autre côté, les anciens esclaves sont restés dans la pauvreté,
Dans leurs îles, par les descendants des colons toujours méprisés,

La seconde, L'État m'a fait croire que pleinement j'y aurais droit,
Ma descendance n'aurait pas à porter de la souffrance, le poids,
Des siècles plus tard, j'ai compris que les mots ont été changé par choix,
La tristesse, la peine, le racisme et la pauvreté, ont pris toute notre joie,

La troisième, a été par les deux premières fortement favorisée,
Cet État devrait, toutes les erreurs du passé, entièrement réparer,
Pour que tout ceux issu d'au-delà des mers, puissent être intégrés,
Qu'il n'y ait plus de stéréotypes, phrases maladroites et clichés.

un écrit prenant bonne journée amitiés

----------------

Magnifique écrit tellement vrai quand on vient d'un pays outre mer on a pas les aides car on est français pas un étranger , on doit pouvoir se débrouiller et on est pas tout à fait français pour être accepter encore plus quand on a pas la bonne couleur ou qu'il reste l'accent

Merci pour ce partage , beau Dimanche à vous

Bonjour Mr_Guyguy,

Une situation qui doit être bien délicate en effet...
Une belle poésie fort émouvante en partage !



Bonne journée !
Mes amitiés
Sybilla

----------------
Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

Salutations à vous tous!

Je vous remercie chacun d'entre vous pour vos commentaires.
Je constate que cet écrit a suscité une émotion en vous tous.
Par conséquent je tenterai de continuer dans cette voie.

Amitiés

bien triste tout cela