Le chat lange le vernis des comètes
Si d'errance vînt le sang blanc
Au cœur mordu de l'art funèbre
Brise le visage d'un vers acquis.
Je n'esse sans âcre eau
Et Pi tête accouplée
Je n'avais qu'à étendre le corps pour oublier
L'esprit calcul l'airain sans rien haïr
Aux portes le sel s'en sort
Et la mer se couche en rus
Se diluent la voix et l'aveugle
À l'orée du jour nuisible.
Et les rires se sont tus comme des fusains sales
Dans la main gangrenée par la haine
Comme un serpent qui pond des raies
Do si lamento à la source
Mange en profondeur l'igname
Gare au dessert, vil amant!
Je dis:"Fait rang ciel
Lent sot, Leila sourit"
Je n'étais qu'os attachés au reg des années
La folie s'écrie plus vite que l'ombre des maux
Études et rails
Études et l'ire
Et tu créés vœu...
Hubix.
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bonjour à toutes et tous, je viens découvrir ce nouveau site, pour moi, en espérant pouvoir partager la passion de la poésie avec chacun(e) d'entre vous... Merci d'avance...