Le nombre de grands huit et de coasters Que ce jour compte n’est plus compte de mots. Du train fantôme à ses pantins d'apocalypse, Je ne dirai plus contre le petit ni contre le grand, À moi les fêlures du ciel sous ses derniers courroux…
Viens, Laissons là le plombier à ses beaubourgs, Mais emporte tes jurons de palefrenier fleuri Et ton smartphone à la glue si jolie, Prends ma main, je ne la lâcherai pas…