L’ombre de ton aura a traversé les vies Illuminant leur sort mais cachant leur empire. Une âme complaisante où séjourne le pire Pour charmer les amants et tuer leurs envies.
Que dire des folies si longtemps asservies… En espérant le mieux et sans perdre le rire, Leur fraîcheur disparaît au doux chant de la lyre Car tu te moques bien des cœurs que tu convies.
Le souffrant assoupi, tu sais qu’il aime encore Mû par une ferveur qui s’éteint à l’aurore. Il rêvera toujours ses grands yeux entrouverts
Aux sublimes lueurs, aux bienfaits de l’amour Ouvrant le long chemin d’un sublime univers, Un horizon magique où s’éclipse le jour.