Vois-tu par le vasistas
Ce qui s’enflamme
La forêt sombre sous les cendres
Entendez-vous les arbres criaint


Hors d’elle et hors du temps
Sens-tu la horde
De milliers de chevaux sans attache
Qui fuient vers l’au-delà

Ton cœur bat si fort
Qu’il finit par quitter la chair

Ressens-tu les blessures
Lorsque tes lèvres reposent sur le traversin
Tel un baiser sans forme
De l’homme du léviathan


Sens-tu en toi
Le tumulte
La turpitude de tes désirs
Aspirés par le soleil
Recrachés par le vent d’hiver //

Bonsoir Richards,

De très belles images poétiques !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

Un écrit touchant merci du partage bonne journée amitiés

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belles images poétiques,



yann

Un poème très intense et superbement visuel, d'une grande violence.

Une belle lecture.

nous on voit au travers de tes mots

Merci pour ce…" brûlant" partage poétique...

Luz

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran

cauchemar où seule l'attirance d'une petite fenêtre
propose la libération de l'être

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Geneviève