Dessine-moi notre univers…
Au départ, il y a une infinie page blanche,
Il n’y a rien juste la lumière, mais ce possible.
Il y a ton envie, dessine-moi notre univers.
La rencontre de la page blanche et de mon envie
Avec juste au départ, ce point sur cette feuille.
Bing bang, l’énergie en ce temps espace
Qui occupe toute cette feuille blanche.
La chaleur de cette intensité de cette naissance,
Je suis dans le brouillard, il y a certes cette matière invisible.
Il me faut composer avec l’énergie de cette envie
Et cet espace ce temps pour donner le mouvement
Pour la création de mon dessin que je veux parfaire.
Une fois, la chaleur intense de cette rencontre
Dissiper en son évolution, ma raison en cette réflexion,
J’ai commencé à faire avancer ma courbe,
L’ampleur de toutes ses émotions refroidissant.
L’énergie de la lumière et de cette matière acquises
Je dessine ma matière d’être, simplement des galaxies
Contenant des Ă©toiles, un bon support que cette page
Blanche, invisible puisque tu ne vois que mon début de dessin.
Mes galaxies ont acquises assez d’énergie en ce courant
Pour tourner autour d’elles même et autour d’un axe.
Comme les étoiles en son cœur, même harmonie, ordre, équilibre.
Il faut garder une précision absolue à 10-60, une nécessité.
Ma feuille blanche, matière invisible régularise ma tempérance
Proche du zéro absolue ayant donc permis à ce tout
D’être des supraconducteurs et bénéficiant de l’effet Messmer
Le tout se gardant à distance pour éviter l’écrasement et l’effondrement.
La paix ne se pouvant qu’en un cycle harmonieux de vie,
Cette zone froide, car tout se stabilise, battre au mĂŞme rythme.
Tu vois une fois fini mon explication, j’ai dessiné votre univers.
Il est de, ce presque début, pas le zéro absolue,
Vu que je ne peux te le dessiner, mais tu le connais, cet instant…
On y a participé en cette raison la volonté de construire
Cette liberté de voir le jour en recevant la lumière, la vie
Le dessin de notre destinée, mon point le 1er est le mur de Planck.
Donc tu vois une forme sphérique, avec une presque fin,
Toujours pas ce zéro absolue, tu remarqueras mes 2 points,
Début, fin, coller l’un avec l’autre, le zéro absolue n’étant rien
Que cette feuille blanche, statique, rien mais tout Ă la fois
NOTRE ENVIE, LE POSSIBLE…
Votre univers, ce corps fini, ayant en lui un infiniment petit
En mouvement, repos, vitesse, lenteur,
Le cycle de ce mouvement a toujours une fin, pour ton commencement.
Le zéro absolue étant cet infime intervalle entre ses 2 points
Que tu ne peux voir encore, il appartient cet intervalle à l’éternité
Statique, perfection, le but atteindre le zéro absolue.
Plus cette nécessité de mouvement, il est la perfection,
Apres le zéro absolue il n’y a rien car il est l’infini.
La page infinie blanche.
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