Vous le lui demandiez, depuis longtemps, et vous avez dansé, Mademoiselle.
Déchantée.

Un sacré plan, fort. Il vous l’a fait. Fort, au Café des Terrasses, là.

Lui dire… Lui, lui qui lui dit : Allo… ! ...
Sa femme bout. Au bout du fil.

Las ! Puis sa batterie recoupe les prétextes tournesol.
Il pause sur son café et sous le verre de vin.

Devin, en devinettes, peignant fort ses à-plats, sur la rue,
Au travers de la grille, au diaphragme soubresaut de vos yeux carabine.

Alors,
Voici la solitude figée à fleur de peau.
Voici le gris linceul revêtant vos regrets.
Voici la douleur, vaine,

Et le cœur en gros plan.

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Photographie by Locha.aminus3

je t ai lu deux fois

Bonsoir Cavalliero,

Bien tristes ces histoires de tromperies...
Très bel écrit !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Prends bien soin de toi !
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)