Enfant sorti du cocon

Les enfants sortis du cocon
Laissent mille remords faire un bond
Sur nos esprits qui se prennent au rebond
Quand le maternel amour furibond
Crie ses maux en horribles sons
Qui ne sont que soupirs d'abandon
Pour ceux qui conçoivent malfaçon
De l’amour vicié de la tentation
Et l’enfant sorti du cocon
Demain se demandera : M’aiment-ils de bon ton
Loin, si loin de la grande passion

J'ai élagué les saines vacances
De ces enfants en partance
Vers d'autres amours en alternance
Où est-il leur bonheur en errance
Quand bien être personnel d’arrogance
Rejette impertinent le bien fondé familial
Que sera leur demain d’allégeance
Dis-le nous, ô bienveillante voyance
©ƒC

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j'irai par vos hameaux cueillir vos mots pour vous les offrir bouquets versifiés toujours plus beaux

Bon, déjà, le sujet m'a intéressé, ensuite, je ne peux voir un poème sans commentaire, peu importe ce qu'on en pense...

Sur la forme, elle m'interroge, deux strophe, une même rime pour la 1ère, la seconde ayant, tout d'un coup, un vers qui ignore la rime des autres, c'est un peu bizarre, tout ça!, peut-être est-ce exprès?

Sur le fond, je trouve tout cela un peu confus, tu parles du fait qu'un enfant, un jour se doit de quitter la maison, la famille, ce que je trouve normal, mais, je n'ai pas l'impression que tu en pense de même...

De plus, tu te demandes si une famille qui laisse partir son enfant, l'aime vraiment - c'est une drôle de question!

Mais bon, au moins tu donnes ton avis, peut-être tient -il d'une expérience?...

Amitiés...

Hubix

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bonjour à toutes et tous, je viens découvrir ce nouveau site, pour moi, en espérant pouvoir partager la passion de la poésie avec chacun(e) d'entre vous... Merci d'avance...

Merci pour le partage malgré la tristesse que l'on ressent sur un sujet douloureux sur l'enfance et l'abandon

Luz

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran

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