Tu m'aimes tant que tes points battent sur moi.
Ce matin lÃ
Encore une fois
Tu t’es masqué
Tu as devancé la porte de l’escalier
Arrête donc de te cacher
Mais, les marches ne cessent de défiler
Et je me relève…
A ciel couvert
Tu m’exaspères !
Mais, comment as-tu fait pour me plaire ?
Ton univers
N’est qu’un grand verre de mystères
Et un volcan de colère
Quoi que je fasse, tu es partout sur mon chemin
Ou que je sois, tu n’es jamais bien loin
Tu es dans tous les moindres recoins
Ou tu me prends pour ta vulgaire catin
Même si malgré tout mon cœur
T’aime encore
Mon corps, lui, n’est plus si fort
Alors, j’erre à ciel ouvert
Et peu à peu perds tous mes repères
Je n’ai plus les pieds sur terre !
Oh, mais tes larmes ont l’air
Tellement sincère ! ! !
Que je ne sais que faire
J’ai tant souffert
J’aimerais tant me réveiller par un de tes câlins
Et sentir la douceur de tes mains
Tu te souviens au moins ?
Mais non, bien sur c’est trop lointain
Et pour toi, je suis toujours ce tout rempli de rien !
Oh, mais c’est loin d’être la fin
Un jour et peut être dès demain
Moi aussi, je saurai fermer mes mains
Et frapper loin !
https://www.youtube.com/watch?v=E7DRAUXECxY&t=7s
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"Mieux vaut écrire pour soi et ne pas avoir de public plutôt que d'avoir un public et ne plus être soi-même"
Cyril Collony
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