Creux vertical un abîme infini
On chute au-dedans au fin fond de la faille
De nos vices masqués arrachés au néant
Aussi profondément que flambe un tas de bûches

Cette cruelle lumière illumine l’océan
Du cerveau nervé jaillit où nous sommes
Tel l’écueil lancinant d’un geste de géant
Notre fragile ego sombre dans la bataille

Lors l’angoisse s’adoucit et la paix revient
Une harmonie symétrique émane en volutes épaisses
Quant la voix s’aiguise et semble poésie

Les tons les formes et les chants ont la même valeur
Tout est confusion toute signification et synesthésie
Dans ce galimatias marbré de toutes les couleurs //

Joli poème que je relis avec plaisir ici.

Bonsoir Richards,

Une belle poésie en partage !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

beau à lire

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/