Souvenirs diffus de la caresse d'un rayon
Qui tranche le cercle des saisons
A l'heure où l'aube se meurt à raison
Nait de cette horloge un nouveau maillon

Engloutie par l'obscurantisme des Ténébrants
La Terre verse des larmes de sang
Noircis par leurs souffles incandescents
Les torrents annoncent le triomphe des tourments

Ô sombre froideur
Des flots morts surgissent les occultes clameurs
Submergés dans l'abyme de leurs peurs
Jaillit la noirceur innocente de son triste cœur.

Bonsoir Svyria,

De magnifiques vers en ta très belle poésie émouvante si emplie de tristes réalités !
J'ai adoré te lire !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Bonne et Heureuse Année !
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

Mélancolique et tristesse se dégagent de ce poème combien beau .
Merci pour le partage.

Esperances.

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Avons-nous les mots pour regarder le monde dans toute sa beauté, ses détails et sa fragilité ?

- Chateaubriand

entre la noirceur et un semblant de lumière la vie continue

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/

Un beau poème, tableau apocalyptique.

Bravo à vous.

tristement beau partage

Bonjour Svyria, une joli poésie qui se marie avec le temps que nous avons aujourd'hui.
Bravo et merci pour ce très bel instant poétique.
Bisous.

Capricorne

Merci pour ce beau et noir partage


Luz

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran

Merci beaucoup à vous tous.

Sybilla, j'ai lu quelqu uns de vos poèmes, ils dégagent vraiment quelque chose de très beau.