Je ne veux pas Être,
Je me présente, je m'appelle j'en ris...
Une carrière, un titre, un statut social, belle, intelligente, riche et célèbre.
La Vie en mon intelligence fasse en la connaissance ne nous reconnait pas ainsi,
Le LA, la note parfaite est en cette ligne d'horizon, Droite.
Il est écrit
Pour être, il faut Être... humain, pour Être...Humain, il faut être, honorer ce prestigieux titre, être pour deux venir, Être Humain.
Je pense donc je veux, je.. souris....car je vois donc je... pisse en lit...
Le film en cinémascope, en ses draps blancs du lit de ma Vie... car au Lion dort...
Une dose de rire journalière c'est Bio, et cela décharge du stress, alors Ris pour toi, pour nous, Ris pour moi...
Je ne veux pas Être,
La vie étant bien faite, elle a répondu à ma quête.
Point de Belle, amie des Bêtes et tout dans le naturel
Aucune chirurgie chez moi, pathétique, je ne le fus point.
Mais à qui veut voir le naturel en ma face,
Qu’est qu’elle a ma Gueule…
Tout un poulailler, en ma vision, je suis toute de Bio vêtue.
Et si vous regardez bien, en la profondeur de mon cerveau
Y grouille toute une colonie d'araignées car
Mon environnement est sain de tout virus.
Il n'y a point de Belle mais la Bête,
Et il se cache, une Belle en ma Bête derrière ce masque
Il faut vraiment bien regarder, mais qui vous dit
Que l'épreuve de la vie réside en la facilité...
Souris, chat pas facile, le but ne pas devenir
Un escargot trop chaud, pour ses Messieurs,
Certains les aiment chauds mais je ne suis pas bonne...
Une chance, juste UN POULAILLER ...
Je ne veux pas Être
La vie est dans ce toujours, pour la justice,
Sans problème, elle donne, je ne fus pas intelligente.
Toujours en ce naturel, ce Bio, un potager.
Au grès des saisons, Navets, poireaux, haricots..
Mais, l'avantage, comme j'y suis tombée dès ma naissance,
Effrontée, je m’en foutiste, réfractaire à toutes autorités, révolutionnaire,
En ma soupe, je peux la distribuer car ma soupe populaire,
Elle remplit bien le cœur, et réchauffe les ardeurs,
Donne le réconfort en ce produit intérieur brut, ma valeur,
La première nécessité, le partage en la multiplication
Ce bien, la bonne répartition en la distribution
Égalité pour tous, de la richesse de tous mes biens.
Alors mon intelligence via mon compte en banque,
Est en ce minimum, mais attention ma petite entreprise
En cette richesse n'eut jamais connu la crise budgétaire,
Crash boursier en ces déchets, jamais, naturellement je fus recyclé
Je suis devenue végétaliste et non capitaliste
Et vive les Navets, poireaux et champ de coco Rico, liquots...
Je me présente, je m'appelle j'en ris,
PS
Une petite dose quotidienne en ma prescription de RIRE, je m'octroie ce titre honorifique de Docteur es Vie, après tout qui est Docteur celui qui acquiert la connaissance, aucun rapport avec une intelligence.
Être intelligent, c'est mettre ses connaissances à profil face à une action, en sa réaction intelligente face à celle-ci.
Alors qui est Docteur, est-ce le Titre donné par l'humanité
Gardons nos distances et vigilances face à l'humanité, lis tes ratures, premier prédateur de nos demains, l’Être humain. Distance, vigilances, c'est écrit.
Pourquoi, l'erreur n'est-elle pas humaine.
Je me permets de lever ces VERS, à ceux qui comme moi souffre en silence dès leur naissance d'un handicap.
Visible et parfois non visible, risible ou parfois moins risible, alors moi mon défi en tant qu'handicapé, définition de ne pas être comme tout le monde, formater, stéréotyper, fut à mon époque et pas reconnu, Dyslexique, Dyscalculie, et bien sûr face à notre société qui n'accepte pas la faiblesse en un handicap, il fut scolaire et ...
Rire, alors au moins le côté positif de mon handicap, fut d'avoir provoqué autant d’hilarité, autant de plaisir en ce bien le rire sur les gens, mais tu es nulle en orthographe, toujours zéro à la dictée, et en la structure de mes phrases, et je ne dis pas ma psychose en Math.
Combien de commentaires, combien de réflexions désobligeantes, combien de larmes mais les larmes ne changent jamais rien, encore maintenant la bêtise est sans fin.
Alors en rire, faire de sa faiblesse en sa reconnaissance la force, tu le sais c'est une force.
Démontrer que même handicapé, tu es en vie, que tu peux écrire, essayer de faire un minimum de fautes, tu développes d'autres forces, la mémoire photographique, une seconde en un document, je le garde en ma mémoire, l'écoute, j'entends, je sais.
Et je lève mon chapeau à ses Êtres humains qui ont fait de leur handicap, une force
Alors, pour moi se leurs fut facile, les moqueries, mais mettriez-vous, comme pour moi en cette 1er année d'apprentissage du minimum de mes 6 ans, face à cette page blanche une dictée, une enfant de 6 ans handicapée moteur sur la ligne du départ d'un 60 mètres maintenant cours non, on est égal en nos douleurs et ressentis le mien fut terrible, si seule en ce manque d’information, à 6 ans, elle est vitale l’information pour sa construction, mais qu’est ce qui va mal chez moi, alors, pour moi, la société, c'est ce qu'elle m'a faite
Sans aucune reconnaissance, sans soin, ni soutien, maintenant fait une dictée sans fautes d'orthographe, cours...écris, et sans cris en silence...
Et voir le rictus de joie du premier et me dire, grâce à moi, la dernière, il me doit bien cela, il ou elle est premier, sans moi, il ne serait rien, donc le zéro est indispensable, on a toujours besoin d’un dernier pour être un premier.
Mais en ce meilleur du pire, c'est de toujours devoir s'en justifier, mais je ne le fais plus, car cela provoque un haussement d'épaules, savoir que tes états âmes en général est le cadet des soucis de ses personnes en joie de vivre, je ris moi aussi, cela leur appartient, si on veut te juger bien ou mal, on te jugera, savoir qui nous sommes vraiment tel est le principal en fait
La valeur ajoutée en ce produit intérieur brut d’une personne passe en la force de ses faiblesses et qu’elle est cette force, faire de ces faiblesses une acceptation et non une résignation, j’accepte d’avoir une faiblesse car en fait le plus important est en soit LA VIE , je vis, j’accepte ma vie…
Je vois je...tu vois tu me tues, alors je veux je et j’en ris, je me présente, je m’appelle, j'en ris moi aussi.
Belle réflexion, qui souffre d’handicap réellement, tout est relatif, n’est-ce pas…même le temps…. Si tu montes dans un train…il est dit…LA RELATIVITE s’applique à tout….
Alors ris pour toi, ris pour nous, et surtout ris pour moi…les larmes ne peuvent rien changer, le rire fait toute la différence…face à l’indifférence…
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