Comme un arbre en ce cycle de la vie...
Mon printemps, mon éveil, le matin...
La vie m'a donné c'est instant exclusif.
Il est mon temps nécessaire pour mon équilibre
Mettre ce LA, pour l'accord de mon corps et de mon esprit
Alors, à la rosée du matin, au premier rayon du soleil,
Je m'éveille tout doucement, en silence, écoute le silence
Ne rien brusquer, le calme, un nouveau jour se lève.
Je lave mon corps et mon esprit et je l'observe
Je mange de la douceur en sa juste valeur.
Et démarre ma journée tendresse en lenteur.
Je n'agresse pas mon corps et mon esprit
En la monter d'énergie, le matin est ce sportif
Sur sa ligne de départ, concentration, respiration.
Mon Été, mon chemin, le jour...
Alors au Zénith, je me donne ma ration
Journalière en alimentaire et humanitaire
Le nécessaire, juste équilibre pas d'orgie.
L'obésité morbide est corporelle mais aussi
émotionnelle, pas de surdoses de contact humain.
Ensuite, je peux mettre mon corps en mouvement
Et mon esprit, un court, l'autre réfléchit.
Entre temps, en cet équilibre, J'élimine
en une digestion, mes excréments
En une intimité, celle du corps et de l'esprit,
Je m'isole, garder juste cette bonne énergie.
En mon Été ne jamais oublier ce que tu donnes
A ton corps doit avoir le même équilibre en l'esprit.
Tu te dois en ta connaissance savoir que
Tout se rapporte à tout, équilibre.
Mon automne, mon intimité, le crépuscule...
Le jour en mon Été baisse en son intensité
Tu te dois de suivre l'accord le La, toi aussi.
Il est temps de ralentir et de prendre ce temps
Pour moi, faire mes provisions, analyser ma journée
Sans accumulation, ne garder que le bon, le beau
Il me faut penser à ma bonne nuit, mon hiver.
Qu'est ce qui me fut nécessaire en ce sens de la vie.
Commencer à me préparer pour faire mon voyage,
En solitaire, pour arriver à Naître et n’Étre que le zéro.
Mon hiver, le commencement, la nuit...
Après ce temps de repos en mon Automne,
Une fois, ou l'équilibre de ma journée est faite.
Le but de mes saisons, étant de maximiser mon temps
Rester seule, car je dois faire ce voyage intérieur.
Atteindre l'équilibre en apport de plats calorifiques
Ceux de mon corps et de mon esprit, l'apport
Alimentaire et humanitaire et bien garder en vue
Qu'on ne peut dissocier le corps de l'esprit.
Rester toujours en la modération, Maître de mon Je,
La nuit, je suis prête, la communion avec le ciel arrive.
Je me mets à nue, comme l'arbre en son hiver.
Ne pas oublier en ma mémoire, d'observer
Le ciel avant mon coucher, il fait parti de ma vie
A par entière, la nuit est ce que mon jour est à ma vie,
Elle doit être sublime, gardienne en ce ciel de mes racines.
Ma littérature a été écrite en mes observations
Prise en la connaissance de la nature,
Mère du savoir, donc offrir en ces quatre cycles,
Neufs nuits de ma vie, pour lui rendre hommage
Neuf, les mois pour ma conception, pour atteindre
Ce dix, face à mon mur, pour devenir le zéro,
Car en cette littérature, la vrai vie est en
Ces étoiles, tout commence à partir de ce Zéro.
Tout n'est que cycle, tout se rapporte à tout,
Et la beauté de la vie, c'est cette justice,
A qui veut le lire ce livre, encyclopédie
Universelle, face à cette complexité,
La connaissance en cette Vérité
Ne se fait que dans la Simplicité
En toute humilité.
Tout naît, tout n'est que dans un équilibre.
Le La, l'horizon, la ligne, droite.
Ps
Il n'y a que l'humanité qui pense être des créateurs, elle arrive même à nous dire que l'on peut arrondir des angles, mais la vie nous montre et nous démontre le contraire les angles sont généralement comme nous devons tous l’être DROIT, la vie n'arrondit pas les angles, l'humanité pardonne, pas la nature.
Tu nais avec juste qu'une intelligence, l'humanité ne doit que ses affirmations en se rapportant toujours en la littérature mais qui n'est basée que sur l'observation de la connaissance de la nature Alors allons à la source et juste comme compagnon, confirmer tes pensées en gardant son libre arbitre en lisant la littérature sans omettre que ce tout a été écrit par des humains, donc garder une certaine distance et vigilance, car le 1er prédateur de nos demains est bien l’Être humain, nous sommes sur l'échelle de la cruauté, les 1er prédateur même pour nous même.
On se doit d'en avoir ce devoir de mémoire en nos nuits et brouillard, ils étaient eux aussi des milliers, 20 puis 100...on doit se souvenir....de qui nous sommes vraiment...
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