L'oued Mehraz
Huile au couteau, par Micam


Cet oued, traversant Fès, y cause des problèmes.
Insectes en été, et mauvaises odeurs
S’ajoutant aux relents du quartier des tanneurs
Indisposent, c’est sûr, les habitants eux-mêmes.

De secrets branchements des égouts de la ville
Responsables seraient de ces inconvénients.
Qui en les construisant a été défaillant,
Serait-ce un architecte ou sont-ce les édiles ?

C’est pourquoi, maintenant, on ne l’aperçoit guère
Car il est en partie recouvert. Pour toujours ?
Tout remis en question, il se peut qu’un beau jour
Ses berges soient bordées de beaux espaces verts !

Adn 15.09.2019

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Le Maroc à quatre mains . Recueil peintures de Micam et poèmes d'Adn.
Couleurs et mots en osmose. Recueil peintures Micam et poèmes d'Adn.
Connivences. Recueil peintures de Micam et poèmes d'ADN.
AXELLE AUTOMNE, HIVER roman par Micam (mon ...

Pour toujours ?
on ne répond
on dit que l 'oued revient à son lit
mais l faut de ce génie

b journée

Superbe tableau et superbe poème, bravo à vous deux !

Amicalement.

Roger.

Bonjour ADN, et Micam,, un oued qui laisse présager différentes évolutions.
Merci pour ce beau partage.
Amitié.

Capricorne

Bonjour min kära van Alain,

Souhaitons que cet oued reverdisse !
Magnifique poésie que j'ai adoré lire et très belle toile de Micam !



Bonne journée à vous deux !
Toutes mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

joli toile et joli texte pour cet Oued qui je l'espère aura bel avenir

Bonjour Alain, la main de l'homme détruit les beautés naturelles de la nature et façonne les siennes

Amitiés

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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout

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D'où l'expression de certains riverais : " L'Oued me rase ! "

bonne soirée les tourtereaux....

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Christian RAY avec Michel Drucker et Patrice Laffont

c'est un appel à l'Oued ?

il suffit seulement de mettre
un peu de menthe fraiche
dans les narines

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"Être vrai, peu le peuvent" F. Nietzsche

souhaitons, que l'homme purifie son environnement, qui l'est naturellement, belle lecture




yann

Il était une fois dans l' Oued
Pour toujours ? on espère pas
Si non: à l'Oued , rien de nouveau !!!!
Amicalement
Claude

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mon blog : http://pacificlaude.blog4ever.com

mais qui sont les responsables?

de ces nuisances…

en tous les cas, la toile est fort belle,

malgré le sujet abordé

je vous souhaite une douce fin de journée

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EVELYNE NADINE

C'est tout ce qu'on lui souhaite.

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http://poesiedejla.blogspot.fr/
Mes livres :- La faim d'un rêve, - Le masque angélique et le chemin de Pierre aux éditions Publibook… De l'aurore au crépuscule aux éditions Le Manucrit …

Pour ce qui est de la toile, le couteau semblé bien maîtrisé. Les gestes sont solides et le choix des couleurs opportun.
Le tout crée une harmonie qui reflète bien la sottise humaine.

La poésie me rappelle une histoire qu'on m'a racontée en visitant le village de mon père qui est dressé sur les hauteurs face à la mer.

Un étranger se promène et s'étonne des routes qui descendent vers la plaine. Celles-ci semblent tourner de ci de là, jamais trop en pente, ayant néccésité très peu de travaux et de matériaux par rapport aux résultats. Il demande quel sont les scientifiques qui ont pu faire se rencontrer les entreprises de travaux publics et les géologues pour construire une route qui lorqu'on la regarde, semble être le summum de la non ingérence de l'humain dans la nature et qui pourtant répond aux besoins. Un habitant lui répond: il n'y a pas eu de scientifique. Nous avons suivi un âne et tracé la route par rapport au chemin qu'il a suivi.
Plus loin, en arrivant sur la plaine, l'étranger voit un énorme ouvrage d'art terminant la route. Cet ouvrage est si abîmé que l'on croirait que la fin du monde lui est tombé dessus. Que s'est-il passé, demande l'étranger ? Un tsunami, un tremblement de terre ?
Ô non, répond l'habitant. Ici ce sont les ingénieurs qui ont repris la main.