Expéditeur |
Conversation |
PierreP |
Envoyé le : 27/8/2019 19:54
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Plume de soie Inscrit le: 26/8/2019 De: La chapelle sur Erdre Envois: 86 |
Poème à continuer Salut, Je vous propose d'ajouter un vers chacun votre tour à mon vers de départ. Nous formerons ainsi un poème ensemble. Le plus simple est de reprendre en réponse les vers précédents et d'y ajouter le vôtre.
Je commence :
Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce, ...
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Sybilla |
Envoyé le : 27/8/2019 23:15
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Modératrice Inscrit le: 27/5/2014 De: Envois: 95051 En ligne |
Re: Poème à continuer Bonsoir Pierre, Je prends la suite : Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce, Pierre Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Sybilla ---------------- Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.
Le rĂŞve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)
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PierreP |
Envoyé le : 29/8/2019 12:31
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Plume de soie Inscrit le: 26/8/2019 De: La chapelle sur Erdre Envois: 86 |
Re: Poème à continuer Je suppose que nous ne serons pas plus que deux... Je continue donc...
Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien
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Sybilla |
Envoyé le : 29/8/2019 22:30
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Modératrice Inscrit le: 27/5/2014 De: Envois: 95051 En ligne |
Re: Poème à continuer Apparemment... Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien Caressaient tendrement sous un ciel ibérien ---------------- Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.
Le rĂŞve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)
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poe |
Envoyé le : 30/8/2019 10:52
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Plume d'argent Inscrit le: 7/7/2018 De: Envois: 267 |
Re: Poème à continuer Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien Caressaient tendrement sous un ciel ibérien Les galets d'une plage restée sauvage encore Où tant de souvenirs palpitent sous le sable ----------------
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cyrael |
Envoyé le : 30/8/2019 11:47
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Mascotte d'Oasis Inscrit le: 30/10/2005 De: **** Envois: 83493 |
Re: Poème à continuer Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce (Pierre) Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce (Sybilla) Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien (Pierre) Caressaient tendrement sous un ciel ibérien ( sybilla) Les galets d'une plage restée sauvage encore Où tant de souvenirs palpitent sous le sable ( lamoki) Une plage , un rivage, autre décor Un ciel bleu saphir intense gemme admirable!!! ( cyrael ) ----------------
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PierreP |
Envoyé le : 30/8/2019 11:48
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Plume de soie Inscrit le: 26/8/2019 De: La chapelle sur Erdre Envois: 86 |
Re: Poème à continuer Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien Caressaient tendrement sous un ciel ibérien Les galets d'une plage restée sauvage encore Où tant de souvenirs palpitent sous le sable Une plage , un rivage, autre décor Un ciel bleu saphir intense gemme admirable!!! Allongé près de l'eau, je m'eveillais alors, Tendant les bras, baillant et l'haleine minable. ---------------- Pierre p. (Mes livres sont disponibles sur TheBookEdition.com )
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Sybilla |
Envoyé le : 31/8/2019 2:47
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Modératrice Inscrit le: 27/5/2014 De: Envois: 95051 En ligne |
Re: Poème à continuer Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce (Pierre) Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce (Sybilla) Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien (Pierre) Caressent tendrement sous un ciel ibérien (Sybilla) Les galets d'une plage restée sauvage encore Où tant de souvenirs palpitent sous le sable (Lamoki) Une plage , un rivage, autre décor Un ciel bleu saphir intense gemme admirable!!! (Cyrael) Allongé près de l'eau, je m'eveillais alors, Tendant les bras, baillant et l'haleine minable. (Pierre) Avec ressentiment, d'un essor incroyable Et par un grand effort, je m'étirais dès lors (Sybilla) ---------------- Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.
Le rĂŞve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)
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daniel46 |
Envoyé le : 31/8/2019 8:50
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Plume de platine Inscrit le: 5/7/2005 De: Hauts de France Envois: 7373 |
Re: Poème à continuer Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien Caressent tendrement sous un ciel ibérien Les galets d'une plage restée sauvage encore Où tant de souvenirs palpitent sous le sable Une plage , un rivage, autre décor Un ciel bleu saphir intense gemme admirable!!! Allongé près de l'eau, je m'eveillais alors, Tendant les bras, baillant et l'haleine minable. Avec ressentiment, d'un essor incroyable Et par un grand effort, je m'étirais dès lors. La houle s’effondrait sous la poussée d’Eole En rouleaux moutonnants grondant sur la pierraille. (daniel46) ---------------- Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)
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Sybilla |
Envoyé le : 31/8/2019 12:20
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Modératrice Inscrit le: 27/5/2014 De: Envois: 95051 En ligne |
Re: Poème à continuer Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien Caressent tendrement sous un ciel ibérien Les galets d'une plage restée sauvage encore Où tant de souvenirs palpitent sous le sable Une plage , un rivage, autre décor Un ciel bleu saphir intense gemme admirable!!! Allongé près de l'eau, je m'eveillais alors, Tendant les bras, baillant et l'haleine minable. Avec ressentiment, d'un essor incroyable Et par un grand effort, je m'étirais dès lors. La houle s’effondrait sous la poussée d’Eole En rouleaux moutonnants grondant sur la pierraille. Une brume apparente enrobait les murailles Ourlant le paysage en fresque et un symbole ---------------- Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.
Le rĂŞve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)
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poe |
Envoyé le : 31/8/2019 17:11
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Plume d'argent Inscrit le: 7/7/2018 De: Envois: 267 |
Re: Poème à continuer Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien Caressent tendrement sous un ciel ibérien Les galets d'une plage restée sauvage encore Où tant de souvenirs palpitent sous le sable Une plage , un rivage, autre décor Un ciel bleu saphir intense gemme admirable!!! Allongé près de l'eau, je m'eveillais alors, Tendant les bras, baillant et l'haleine minable. Avec ressentiment, d'un essor incroyable Et par un grand effort, je m'étirais dès lors. La houle s’effondrait sous la poussée d’Eole En rouleaux moutonnants grondant sur la pierraille. Une brume apparente enrobait les murailles Ourlant le paysage en fresque et un symbole Le dernier jour est là les vacanciers profitent des caresses d’un vent léger sur leur visage Le soleil s’est caché sans assombrir le lieu laissant quelques filets de sa douce lumière. ----------------
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PierreP |
Envoyé le : 31/8/2019 18:40
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Plume de soie Inscrit le: 26/8/2019 De: La chapelle sur Erdre Envois: 86 |
Re: Poème à continuer Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien Caressent tendrement sous un ciel ibérien
Les galets d'une plage restée sauvage encore Où tant de souvenirs palpitent sous le sable Une plage , un rivage, autre décor Un ciel bleu saphir intense gemme admirable!!!
Allongé près de l'eau, je m'eveillais alors, Tendant les bras, baillant et l'haleine minable. Avec ressentiment, d'un essor incroyable Et par un grand effort, je m'étirais dès lors.
La houle s’effondrait sous la poussée d’Eole En rouleaux moutonnants grondant sur la pierraille. Une brume apparente enrobait les murailles Ourlant le paysage en fresque et un symbole
Le dernier jour est là les vacanciers profitent des caresses d’un vent léger sur leur visage Le soleil s’est caché sans assombrir le lieu laissant quelques filets de sa douce lumière.
Je me suis souvenu qu'il fallait que je quitte Sur le champs cet endroit et ses doux paysages, Retourner à la ville et au bruit, et au feu, Laissant derrière moi la beauté de la mer.
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poe |
Envoyé le : 1/9/2019 3:25
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Plume d'argent Inscrit le: 7/7/2018 De: Envois: 267 |
Re: Poème à continuer Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien Caressent tendrement sous un ciel ibérien Les galets d'une plage restée sauvage encore Où tant de souvenirs palpitent sous le sable Une plage , un rivage, autre décor Un ciel bleu saphir intense gemme admirable!!! Allongé près de l'eau, je m'eveillais alors, Tendant les bras, baillant et l'haleine minable. Avec ressentiment, d'un essor incroyable Et par un grand effort, je m'étirais dès lors. La houle s’effondrait sous la poussée d’Eole En rouleaux moutonnants grondant sur la pierraille. Une brume apparente enrobait les murailles Ourlant le paysage en fresque et un symbole Le dernier jour est là les vacanciers profitent des caresses d’un vent léger sur leur visage Le soleil s’est caché sans assombrir le lieu laissant quelques filets de sa douce lumière. Je me suis souvenu qu'il fallait que je quitte Sur le champs cet endroit et ses doux paysages, Retourner à la ville et au bruit, et au feu, Laissant derrière moi la beauté de la mer. Le petit soir descend doucement sur le sable le dernier château fort menacé par la vague, ----------------
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anonyme |
Envoyé le : 3/9/2019 11:12
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Re: Poème à continuer Re: Poème à continuer Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien Caressent tendrement sous un ciel ibérien
Les galets d'une plage restée sauvage encore Où tant de souvenirs palpitent sous le sable Une plage , un rivage, autre décor Un ciel bleu saphir intense gemme admirable!!!
Allongé près de l'eau, je m'eveillais alors, Tendant les bras, baillant et l'haleine minable. Avec ressentiment, d'un essor incroyable Et par un grand effort, je m'étirais dès lors.
La houle s’effondrait sous la poussée d’Eole En rouleaux moutonnants grondant sur la pierraille. Une brume apparente enrobait les murailles Ourlant le paysage en fresque et un symbole
Le dernier jour est là les vacanciers profitent des caresses d’un vent léger sur leur visage Le soleil s’est caché sans assombrir le lieu laissant quelques filets de sa douce lumière.
Je me suis souvenu qu'il fallait que je quitte Sur le champs cet endroit et ses doux paysages, Retourner à la ville et au bruit, et au feu, Laissant derrière moi la beauté de la mer.
Le petit soir descend doucement sur le sable le dernier château fort menacé par la vague, Je profite de ces derniers instants agréables Je respire à ce bon air et me dirige vers la digue.
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poe |
Envoyé le : 3/9/2019 12:01
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Plume d'argent Inscrit le: 7/7/2018 De: Envois: 267 |
Re: Poème à continuer Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien Caressent tendrement sous un ciel ibérien Les galets d'une plage restée sauvage encore Où tant de souvenirs palpitent sous le sable Une plage , un rivage, autre décor Un ciel bleu saphir intense gemme admirable!!! Allongé près de l'eau, je m'eveillais alors, Tendant les bras, baillant et l'haleine minable. Avec ressentiment, d'un essor incroyable Et par un grand effort, je m'étirais dès lors. La houle s’effondrait sous la poussée d’Eole En rouleaux moutonnants grondant sur la pierraille. Une brume apparente enrobait les murailles Ourlant le paysage en fresque et un symbole Le dernier jour est là les vacanciers profitent des caresses d’un vent léger sur leur visage Le soleil s’est caché sans assombrir le lieu laissant quelques filets de sa douce lumière. Je me suis souvenu qu'il fallait que je quitte Sur le champs cet endroit et ses doux paysages, Retourner à la ville et au bruit, et au feu, Laissant derrière moi la beauté de la mer. Le petit soir descend doucement sur le sable le dernier château fort menacé par la vague, Je profite de ces derniers instants agréables Je respire à ce bon air et me dirige vers la digue. Sur la promenade la nuit tombe doucement un pêcheur assis deux mouettes à ses côtés, ----------------
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luzdelsol |
Envoyé le : 3/9/2019 16:29
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Mascotte d'Oasis Inscrit le: 10/1/2011 De: sur ma planète "le soleil" Envois: 27440 |
Re: Poème à continuer Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien Caressent tendrement sous un ciel ibérien Les galets d'une plage restée sauvage encore Où tant de souvenirs palpitent sous le sable Une plage , un rivage, autre décor Un ciel bleu saphir intense gemme admirable!!! Allongé près de l'eau, je m'eveillais alors, Tendant les bras, baillant et l'haleine minable. Avec ressentiment, d'un essor incroyable Et par un grand effort, je m'étirais dès lors. La houle s’effondrait sous la poussée d’Eole En rouleaux moutonnants grondant sur la pierraille. Une brume apparente enrobait les murailles Ourlant le paysage en fresque et un symbole Le dernier jour est là les vacanciers profitent des caresses d’un vent léger sur leur visage Le soleil s’est caché sans assombrir le lieu laissant quelques filets de sa douce lumière. Je me suis souvenu qu'il fallait que je quitte Sur le champs cet endroit et ses doux paysages, Retourner à la ville et au bruit, et au feu, Laissant derrière moi la beauté de la mer. Le petit soir descend doucement sur le sable le dernier château fort menacé par la vague, Je profite de ces derniers instants agréables Je respire à ce bon air et me dirige vers la digue. Sur la promenade la nuit tombe doucement un pêcheur assis deux mouettes à ses côtés, attendent patiemment pour gober une sardine mais c'est un godillot qui mort à l'hameçon balançant tout son poid à faire plier la ligne le pêcheur est surpris et les mouettes s'en vont... ---------------- Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu. Le DalaÏ Lama
Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran
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cyrael |
Envoyé le : 4/9/2019 19:37
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Mascotte d'Oasis Inscrit le: 30/10/2005 De: **** Envois: 83493 |
Re: Poème à continuer à vos plumes ----------------
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PierreP |
Envoyé le : 15/9/2019 11:52
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Plume de soie Inscrit le: 26/8/2019 De: La chapelle sur Erdre Envois: 86 |
Re: Poème à continuer Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien Caressent tendrement sous un ciel ibérien Les galets d'une plage restée sauvage encore Où tant de souvenirs palpitent sous le sable Une plage , un rivage, autre décor Un ciel bleu saphir intense gemme admirable!!! Allongé près de l'eau, je m'eveillais alors, Tendant les bras, baillant et l'haleine minable. Avec ressentiment, d'un essor incroyable Et par un grand effort, je m'étirais dès lors. La houle s’effondrait sous la poussée d’Eole En rouleaux moutonnants grondant sur la pierraille. Une brume apparente enrobait les murailles Ourlant le paysage en fresque et un symbole Le dernier jour est là les vacanciers profitent des caresses d’un vent léger sur leur visage Le soleil s’est caché sans assombrir le lieu laissant quelques filets de sa douce lumière. Je me suis souvenu qu'il fallait que je quitte Sur le champs cet endroit et ses doux paysages, Retourner à la ville et au bruit, et au feu, Laissant derrière moi la beauté de la mer. Le petit soir descend doucement sur le sable le dernier château fort menacé par la vague, Je profite de ces derniers instants agréables Je respire à ce bon air et me dirige vers la digue. Sur la promenade la nuit tombe doucement un pêcheur assis deux mouettes à ses côtés, attendent patiemment pour gober une sardine mais c'est un godillot qui mort à l'hameçon balançant tout son poid à faire plier la ligne le pêcheur est surpris et les mouettes s'en vont… Tant de vers sont allés rejoindre l'océan Pour qu'enfin le pêcheur retombe sur ses pieds Mais, catastrophe, aucun poisson n'est dans le seau. Je quitte les odeurs du port et de la mer Pour m'en aller plus loin, voir si le ciel est beau. Je garde au fond de moi le souvenir d'hier. ---------------- Pierre p. (Mes livres sont disponibles sur TheBookEdition.com )
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roland888 |
Envoyé le : 17/12/2019 10:38
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Inscrit le: 15/12/2019 De: Envois: 8 |
Re: Poème à continuer 0
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roland888 |
Envoyé le : 17/12/2019 10:43
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Inscrit le: 15/12/2019 De: Envois: 8 |
Re: Poème à continuer Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien Caressent tendrement sous un ciel ibérien
Les galets d'une plage restée sauvage encore Où tant de souvenirs palpitent sous le sable Une plage , un rivage, autre décor Un ciel bleu saphir intense gemme admirable!!!
Allongé près de l'eau, je m'eveillais alors, Tendant les bras, baillant et l'haleine minable. Avec ressentiment, d'un essor incroyable Et par un grand effort, je m'étirais dès lors.
La houle s’effondrait sous la poussée d’Eole En rouleaux moutonnants grondant sur la pierraille. Une brume apparente enrobait les murailles Ourlant le paysage en fresque et un symbole
Le dernier jour est là les vacanciers profitent des caresses d’un vent léger sur leur visage Le soleil s’est caché sans assombrir le lieu laissant quelques filets de sa douce lumière.
Je me suis souvenu qu'il fallait que je quitte Sur le champs cet endroit et ses doux paysages, Retourner à la ville et au bruit, et au feu, Laissant derrière moi la beauté de la mer.
Le petit soir descend doucement sur le sable le dernier château fort menacé par la vague, Je profite de ces derniers instants agréables Je respire à ce bon air et me dirige vers la digue.
Sur la promenade la nuit tombe doucement un pêcheur assis deux mouettes à ses côtés, attendent patiemment pour gober une sardine mais c'est un godillot qui mort à l'hameçon balançant tout son poid à faire plier la ligne le pêcheur est surpris et les mouettes s'en vont…
Tant de vers sont allés rejoindre l'océan Pour qu'enfin le pêcheur retombe sur ses pieds Mais, catastrophe, aucun poisson n'est dans le seau. Je quitte les odeurs du port et de la mer Pour m'en aller plus loin, voir si le ciel est beau. Je garde au fond de moi le souvenir d'hier.
Et puis ces vers, au vrai, sont muets dans l'abysse, Ils ont besoin de l'air, ils ont besoin du vent, De rallumer leur âme au chevet du Levant , De guetter vers le haut l'étoile inspiratrice.
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Rozazure |
Envoyé le : 21/12/2019 3:55
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Plume d'or Inscrit le: 20/7/2015 De: Entre pose et si... Envois: 741 |
Re: Poème à continuer
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roland888 |
Envoyé le : 21/12/2019 11:12
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Inscrit le: 15/12/2019 De: Envois: 8 |
Re: Poème à continuer Tout d'abord, un grand bonjour Rozazure !
Dites-moi si je me trompe. Car je découvre à peine ce site et donc je peux évidemment me tromper . Voilà . Ce forum-ci est un forum de "jeu". Pierre P. , qui a enclenché un jeu très "particulier" au mois d'août (continuer un poème commencé) proposait une contrainte : composer des alexandrins dans les règles . C'est le choix du jeu qu'il a fixé au départ . Il a d'ailleurs lui-même rigoureusement suivi cette règle du jeu (regardez tous ces derniers vers ). Et c'est justement cette contrainte qui rend ce jeu intéressant, qui en en fait un défi passionnant.
Que me suggérez-vous pour pouvoir débloquer le jeu ?
Je suis vraiment ouvert à toutes vos réponses. roland888
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Rozazure |
Envoyé le : 24/12/2019 2:27
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Plume d'or Inscrit le: 20/7/2015 De: Entre pose et si... Envois: 741 |
Re: Poème à continuer Oups
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roland888 |
Envoyé le : 24/12/2019 9:25
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Inscrit le: 15/12/2019 De: Envois: 8 |
Re: Poème à continuer bonjour Rozazure
Si vous disiez , par exemple :
"Mais que peut-on sans la boussole ou sans sextant"
le vers serait impeccable, il aurait un bon rythme. On aurait un "trimètre" romantique (un vers divisé en 3 fois 4 pieds), bien cadencé avec ces 3 césures .
Bonne journée à vous et joyeuses fêtes !
roland888
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Rozazure |
Envoyé le : 24/12/2019 14:47
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Plume d'or Inscrit le: 20/7/2015 De: Entre pose et si... Envois: 741 |
Re: Poème à continuer
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roland888 |
Envoyé le : 26/12/2019 12:27
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Inscrit le: 15/12/2019 De: Envois: 8 |
Re: Poème à continuer Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien Caressent tendrement sous un ciel ibérien
Les galets d'une plage restée sauvage encore Où tant de souvenirs palpitent sous le sable Une plage , un rivage, autre décor Un ciel bleu saphir intense gemme admirable!!!
Allongé près de l'eau, je m'eveillais alors, Tendant les bras, baillant et l'haleine minable. Avec ressentiment, d'un essor incroyable Et par un grand effort, je m'étirais dès lors.
La houle s’effondrait sous la poussée d’Eole En rouleaux moutonnants grondant sur la pierraille. Une brume apparente enrobait les murailles Ourlant le paysage en fresque et un symbole
Le dernier jour est là les vacanciers profitent des caresses d’un vent léger sur leur visage Le soleil s’est caché sans assombrir le lieu laissant quelques filets de sa douce lumière.
Je me suis souvenu qu'il fallait que je quitte Sur le champs cet endroit et ses doux paysages, Retourner à la ville et au bruit, et au feu, Laissant derrière moi la beauté de la mer.
Le petit soir descend doucement sur le sable le dernier château fort menacé par la vague, Je profite de ces derniers instants agréables Je respire à ce bon air et me dirige vers la digue.
Sur la promenade la nuit tombe doucement un pêcheur assis deux mouettes à ses côtés, attendent patiemment pour gober une sardine mais c'est un godillot qui mort à l'hameçon balançant tout son poid à faire plier la ligne le pêcheur est surpris et les mouettes s'en vont…
Tant de vers sont allés rejoindre l'océan Pour qu'enfin le pêcheur retombe sur ses pieds Mais, catastrophe, aucun poisson n'est dans le seau. Je quitte les odeurs du port et de la mer Pour m'en aller plus loin, voir si le ciel est beau. Je garde au fond de moi le souvenir d'hier.
Et puis ces vers, au vrai, sont muets dans l'abysse, Ils ont besoin de l'air, ils ont besoin du vent, De rallumer leur âme au chevet du Levant , De guetter vers le haut l'étoile inspiratrice. Mais que peut-on sans la boussole ou sans sextant ? Je ne saisis pas bien le rapport existant Entre les vers d'avant et la question laissée ! Un vers ne suffit pas pour dire sa pensée, Pour qu'un sens y soit vu, il en faut au moins deux. Développez la chose et l'on comprendra mieux !
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Rozazure |
Envoyé le : 27/12/2019 15:55
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Plume d'or Inscrit le: 20/7/2015 De: Entre pose et si... Envois: 741 |
Re: Poème à continuer Bien le bonjour Roland888 j'enlève mes post pour vous permettre de reprendre. Bonne fin d'année à tous.
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PierreP |
Envoyé le : 9/1/2020 15:46
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Plume de soie Inscrit le: 26/8/2019 De: La chapelle sur Erdre Envois: 86 |
Re: Poème à continuer Salut tout le monde, je suis de l'avis de Roland mais cela dit, je n'ai rien imposé... Amusons-nous et, ma foi, à chacun son style... En tout cas, je suis content de voir que ce poème a bien grandi. ---------------- Pierre p. (Mes livres sont disponibles sur TheBookEdition.com )
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PierreP |
Envoyé le : 9/1/2020 16:08
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Plume de soie Inscrit le: 26/8/2019 De: La chapelle sur Erdre Envois: 86 |
Re: Poème à continuer Le soleil murmurait, de sa voix chaude et douce Sous un fredonnement d'un vent fort qui courrouce Les mots rafraîchissants d'un espoir aérien Caressent tendrement sous un ciel ibérien Les galets d'une plage restée sauvage encore Où tant de souvenirs palpitent sous le sable Une plage , un rivage, autre décor Un ciel bleu saphir intense gemme admirable!!! Allongé près de l'eau, je m'eveillais alors, Tendant les bras, baillant et l'haleine minable. Avec ressentiment, d'un essor incroyable Et par un grand effort, je m'étirais dès lors. La houle s’effondrait sous la poussée d’Eole En rouleaux moutonnants grondant sur la pierraille. Une brume apparente enrobait les murailles Ourlant le paysage en fresque et un symbole Le dernier jour est là les vacanciers profitent des caresses d’un vent léger sur leur visage Le soleil s’est caché sans assombrir le lieu laissant quelques filets de sa douce lumière. Je me suis souvenu qu'il fallait que je quitte Sur le champs cet endroit et ses doux paysages, Retourner à la ville et au bruit, et au feu, Laissant derrière moi la beauté de la mer. Le petit soir descend doucement sur le sable le dernier château fort menacé par la vague, Je profite de ces derniers instants agréables Je respire à ce bon air et me dirige vers la digue. Sur la promenade la nuit tombe doucement un pêcheur assis deux mouettes à ses côtés, attendent patiemment pour gober une sardine mais c'est un godillot qui mort à l'hameçon balançant tout son poid à faire plier la ligne le pêcheur est surpris et les mouettes s'en vont… Tant de vers sont allés rejoindre l'océan Pour qu'enfin le pêcheur retombe sur ses pieds Mais, catastrophe, aucun poisson n'est dans le seau. Je quitte les odeurs du port et de la mer Pour m'en aller plus loin, voir si le ciel est beau. Je garde au fond de moi le souvenir d'hier. Et puis ces vers, au vrai, sont muets dans l'abysse, Ils ont besoin de l'air, ils ont besoin du vent, De rallumer leur âme au chevet du Levant , De guetter vers le haut l'étoile inspiratrice. Mais que peut-on sans la boussole ou sans sextant ? Je ne saisis pas bien le rapport existant Entre les vers d'avant et la question laissée ! Un vers ne suffit pas pour dire sa pensée, Pour qu'un sens y soit vu, il en faut au moins deux. Développez la chose et l'on comprendra mieux ! Alors un vers, puis deux, puis tout un tas de vers, Pour éclairer nos âmes seront nécessaires. Liquider les noirceurs, diluer les tristesses Et s'encanailler d'une littéraire ivresse. ---------------- Pierre p. (Mes livres sont disponibles sur TheBookEdition.com )
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PierreP |
Envoyé le : 3/5/2020 19:19
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Plume de soie Inscrit le: 26/8/2019 De: La chapelle sur Erdre Envois: 86 |
Re: Poème à continuer Salut tout le monde, J'aime beaucoup ce texte et j'aimerais beaucoup l'intégrer à mon prochain recueil. Cela gêne-t-il l'un d'entre vous? Il va de soit que si c'est ok, je préciserai qu'il a été co-écrit sur Oasisdesartistes.com avec vos pseudos respectifs à côté. Il va de soit aussi que je comprendrai tout à fait en cas de refus. Amicalement, ---------------- Pierre p. (Mes livres sont disponibles sur TheBookEdition.com )
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Cavalliero |
Envoyé le : 3/5/2020 21:51
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Plume de platine Inscrit le: 24/3/2016 De: De Breizh dite Izel Envois: 2240 |
Re: Poème à continuer Alors un vers, puis deux, puis tout un tas de vers, Pour éclairer nos âmes y furent nécessaires, Liquider les noirceurs, diluer les tristesses Et puis s'encanailler d'une littéraire ivresse,
Enroulant l'Oasis le temps d'une caresse...
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Jeffastou |
Envoyé le : 4/5/2020 21:57
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Plume d'or Inscrit le: 16/4/2020 De: Envois: 556 |
Re: Poème à continuer Re: Poème à continuer Alors un vers, puis deux, puis tout un tas de vers, Pour éclairer nos âmes y furent nécessaires, Liquider les noirceurs, diluer les tristesses Et puis s'encanailler d'une littéraire ivresse, Enroulant l'Oasis le temps d'une caresse Comme une invitation pour que jamais ne cesse ----------------
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Sybilla |
Envoyé le : 4/5/2020 22:13
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Modératrice Inscrit le: 27/5/2014 De: Envois: 95051 En ligne |
Re: Poème à continuer Bonsoir Pierre, Je n'ai pas rajouté de vers depuis un bon moment, mais je te donne mon accord pour la publication ! Bonne continuation ! Belle soirée ! Mes amitiés Prends bien soin de toi ! Sybilla ---------------- Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.
Le rĂŞve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)
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roland888 |
Envoyé le : 5/5/2020 9:50
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Inscrit le: 15/12/2019 De: Envois: 8 |
Re: Poème à continuer Bonjour Pierre
Non, non, il n'y a aucun souci en ce qui me concerne.
Bonne journée
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Cavalliero |
Envoyé le : 13/5/2020 19:31
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Plume de platine Inscrit le: 24/3/2016 De: De Breizh dite Izel Envois: 2240 |
Re: Poème à continuer Publication, oui Mais aussi ici en rubrique poème à plusieurs Merci Pierre
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feyzovic |
Envoyé le : 7/11/2020 20:15
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Plume d'or Inscrit le: 10/9/2011 De: Djibouti Envois: 601 |
Re: Poème à continuer M.A.A Mes amitiés ---------------- « Quand tu auras désappris à espérer, je t’apprendrai à vouloir » Sénèque.
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