L'expression est une beauté à part entière puisqu'elle permet l'incarnation de ce que le verbe peut dévoiler d'idiomatique à partir d'un ensemble syntaxique.
Mais ce qui est d'autant plus beau et qu'on appelle esthétique est la vérité profonde de ce que le cœur divulgue de pigmentation transitoire à la pénétration de l'esprit.
Or l'esprit n'a pas de sens, il est en fait le sens même de l'intuition qui permet à la conscience d'accéder à ce que l'entendement ne peut trouver qu'avec la seule sensibilité.
Et cela ainsi que tout phénomène peut aussi se révéler dans la chose en soi (ou noumène kantien) qui est le seul témoignage à ce qui rend invisibles les interdictions imperméabilisées par l'inconscient.
En effet l'existence du Surmoi comme censure à ce qui fait étalage de la passion en pleine ratiocination est ce qui fait de l'éthique cette chose en soi qui associé avec le Moi de la conscience sensible forment la singularité de l'esprit.
Cependant l'esprit n'est qu'une abstraction qui fait de la raison la protubérance à isoler la conscience pour la rendre aussi impure que ce que le cœur peut en révéler de correspondance poétique à son verbe.
Car l'esprit n'est qu'une forme de l'expression qui en restitue la matière la plus profonde jusqu'à en isoler la symbolique qui n'est autre que vanité.
En effet la question porte sur la délectation d'une vision à ne représenter que l'orgueil de la passion qui s'afflige de ne pas assez se dénuder dans sa création.
La vanité de l'expression, tel est donc le titre qui s'apparente le mieux à la réalité de la situation qui, dans son autorité artistique, veut se greffer sur cette mascarade qu'on appelle l'authenticité.

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Le cœur sans l'esprit est un souffle qui ne sait pas s'orienter !
Citation de Thanatos