Où es-tu, Paradis ?
Mon âme meurtrie a besoin de ton nid.
Faut-il vraiment mourir, pour voir ton sourire ?
N'es-tu pas là sur Terre, loin des villes amères ?
Où es-tu, Paradis ?
Faut-il s'envoler, pour rencontrer tes anges ?
Les voir s'élever, puis les suivre dans leurs songes ?
Paradis, je sais que tu es là
Jardin féérique, illuminé de joie
Forêt magique, sous une pluie d'étoiles,
Tu es si protégé,
Si accessible pourtant.
Ce Paradis, je le connais
Toujours près de moi,
Nourri par mes lois.
Ce Paradis, j'y ai accès
Il est caché en moi,
Dans mes pensées...

Un très joli poème. Ce paradis caché dans tes pensées, personne ne pourra te le ravir. Un monde secret dont tu garderas seule la clé.

La clé du Paradis !






Retrouvez mes créations sur mon site :
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A bientôt !

Le monde commence derrière nos paupières, il est sensible. Et à la lecture de ton poème, je crois que le paradis aussi.
Merci pour ce beau poème.

Allover

Ici!!!
Ton poème à dû allé près

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Mon NOUVEAU site web
www.mespoemes.net/yohanne1
ou Mon ANCIEN site www.mespoemes.net/yohanne

L'homme est son propre paradis et ses semblables sont son enfer...
J'ai bien tout compris ?

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Des mots contres des maux
Et l'espoir en écho...

En gros, c'est ça. En fait, on a accès au Paradis n'importe quand, n'importe où, il suffit d'y penser, et puis on s'évade...
Les semblables de l'homme ne sont pas l'enfer, mais sont en quelque sorte une représentation du monde horizontal, bourré de défauts. C'est un poème qui montre que nous ne sommes pas dans un monde parfait, certes, mais que l'évasion est juste derrière nos paupières, et donc très accessible.