"Toi, être immonde, tu porteras le fardeau de tous."
Les clichés, arme redoutable reposant sur la fable, et le désir de possession, obsession des hommes, ont un lien direct avec un monde fictif, entraînant une situation d'hystérie collective, une ou des populations toutes entières qui se trouvent dans l'incapacité de raisonner et d'agir.
Lutte (contre les clichés et l'obsession)
- Chaque personne est reconnue dans son individualité ;
- la foi (connotation religieuse ou non) permet d'aller au-delà du désir de possession (qui ne correspond en réalité qu'à un besoin primaire ou secondaire (sain) poussé à l'extrême, ce qui le relie à une certaine forme de pathos en générant en son sein un aspect obsessionnel.
La plénitude
- Le "moi" est toujours complet (cf. S. Freud, F. Nietzsche réhabilité au début du VVI e siècle...) ;
- la reconnaissance existe toujours (cf." la pyramide des besoins" de Maslow, études de B. Pascal...) ;
- la plénitude fait partie des libertés de chacun et chaque individu a accès à des instants de bonheur (consciemment ou inconsciemment) ;
- le désir de possession correspond en réalité à un besoin (sain) poussé à l'extrême.
Conclusion
Sur le plan collectif, la reconnaissance au sein du groupe (soit au sein de la société) est toujours présente (présence et rôle joué par chacun).
Sur le plan de l'individu, ce dernier est toujours reconnu depuis son enfance en tant qu'être humain à part entière (et apprécié par rapport à son "moi" au sein des différents cercles).
La confiance et la foi peuvent permettre à chaque personne de s'éloigner d'un monde fictif dominé par le trouble obsessionnel et de vivre pleinement et sainement en répondant naturellement à des besoins éloignés de toute forme de pathos et faisant partie de la vie en société.
La lutte active contre les clichés et le risque de tomber dans une forme du pathos par l'intermédiaire d'une prise de conscience pourrait permettre une vie au sein d'une société responsable et confiante en son avenir.
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Préservons ce don précieux qu'est la vie....