absorbé par ma passion,
je fini par perdre la raison,
je sais qu'il n'y à pas de solutions,
je dois continuer de toute façon.
têtu qu'on m’édifie une statue,
on notera dessus ce que je fus,
un pauvre écrivaillon déchu,
qui pour ces quelques mots vécus.
attaché aux mots par l'habitude,
je joue avec sans lassitude,
ils me donnent de l’altitude,
la chute en sera plus dure.
sans ailes ni parachute je erre,
dans ces bras la vie me serre,
je survole cette vieille terre,
je m'isole face à ces guerres.
la dérision m a ouvert la porte,
vers un monde d'une autre sorte,
ici les rêves sont mon escorte,
sur le papier je les exporte.
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lagrib
"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"