Relançons les rires dans les chauds fourrés...
Mais oui je le sens bien qu’en douceur tu me presses
D’avouer des péchés pour de simples caresses.
Non, n’ajoute plus rien, car je m’en vais plaider
L’innocence du cœur et pour ainsi m’aider
J’appelle l’Avocat seul expert en détresses.
J’irai précédemment voir la joviale abbesse
Qui soigne tout pêcheur saignant quand on le blesse.
Cher Ami de toujours, puis-je ainsi procéder ?
Mais oui je le sens bien !
Avec quelques joyaux offerts avec tendresse
Je la subjuguerai tel un Dieu qui s’adresse
A une âme soumise et prête à tout céder
Pour satisfaire un être enclin à posséder.
Tu me dis « le crois-tu ? », en feignant l'allégresse :
Mais oui je le sens bien !