SOUS LE FOUET DU VAIN
(ou la métaphore de la cire)
Cette belle lueur au prix de tant de larmes !
Amoureuse, peux-tu nous dire quel amant
Te fait pleurer autant lorsque dansent les charmes
(Sous ton charme envoûtant) des biches du moment ?
Jalouse serais-tu, des joues qui rosissent
Sous le fouet du vin répandu capiteux
Au gré de piteux vers et non dits que nourrissent
Les flammes d’un amour qui s’éteint vaniteux ?
Loin est le souvenir de cet état de grâce…
Lorsque l’essaim vibrait en ton opalescent
Sein démultiplié, paradis qui embrasse
Jusqu’au cœur de l’enfer des cœurs incandescents.
Az Alloun
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Prière ne pas remonter mes anciens textes, merci
Le tagastin: quand on vit d'amour et de vers, il faut assumer ses coliques!