Et le calme règne
Rien pour l’heure ne vient traverser l’eau tranquille
Mais soudainement les rires cessèrent
L’horizon se fait sombre
Des gouttes d’eau pleuvent de la mer
Qui pénètrent le sable enfonce les voitures dans la boue
Tout vole en éclat plus rien n’est à l’abri de l’eau qui monte
Tout est traversé par des flots marins le cœur étouffe le corps transpire l’eau salée
Qui détruit tout sur son passage qui enferme chacun dans le mutisme de la mer
Et les choses sont brisées, les chaises en l’air la toiture des maisons n’ont pas supportée l’eau montante les voiture flottent finissent par s’engloutir dans l’eau froide
Sous l’horizon l’éclaircie
Sur la plage des objets endeuillés
Et des corps humains gisent gorgés d’eau salée //

Bonsoir Richards,

Très émouvante et belle poésie !



Bonne soirée !
Mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

Serais ce un tsunami que tu nous conte ici ?
Ou bien un ouragan , bien terrible vraimant ,
Bref une catastrophe , décrite en quelques strophes ...

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Et les catastrophes ne cessent dans un monde toujours exposé, voici la civilisation vaincue par la nature, un tableau sombre avec de beaux vers.
Amitiés
Med

un rappel à la veille,
le monde, si fragile,
merci Richards

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une triste réalité

Un désastre pour les gens touchés par ce genre de catastrophes de plus en plus fréquentes.
Amitiés.
Najda.

Comme quoi tout de ce monde n'est que poussière qui ne pourrait se prétendre de grandeur assez pour
dire que la demeure est indestructible,.... le calme héritera de tout ...

Voyageur.