L'enchantement !
Je n'ai eu d'yeux, et n'eus d'oreilles;
Que pour le corps, la voix de Mireille !
Transcendé ; dans l'enchantement
D'être le plus heureux des amants !
Elle savait des belles mélodies
Emmener mon âme au Paradis !
En jouant de son corps sensuel
Dans le moment circonstanciel
Où elle et moi n'en faisions qu'un
En sublimant le moment opportun
Dans la jubilation de s'abandonner
Et dans l'extase de tout se donner !
Elle m'a appris ce qu'est l'amour !
En m'offrant sa saveur tous les jours
L'ensorcellement de ses mots doux
D'un grand bonheur me rendant fou !
Fou de l'avoir, joyeusement l'aimer !
Le désir au coeur toujours enflammé
De telle sorte qu'aux appâts de Mireille
Avec volupté; je goûtais aux merveilles.
Guyh