Le pire des tourments !
Avoir au cœur des sentiments
Au point qu'ils deviennent tourments
C'est vouloir quelqu'un à aimer
Avec notre ferveur enflammée !
Qu'alors ce vœu ce doux désir
Qu'on souhaite tant, obnubilé ;
De notre cœur ne fait que fuir
Nous laissant l'âme désolée !
Ce tourment qui en nous habite
Enlève la paix et notre quiétude
Au point de perdre le sommeil
A l'injonction du cœur en deuil.
Rien n'est alors, plus frustrant
D'être criblé du mal pénétrant
Que génère l'absence d'amour
Faisant mourir au fil des jours !
Car le pire c'est quand on rêve
Du partage de l'instant de fièvre
Qu'avec bonheur l'on s’adonne ;
A cette joie, l'âme chantonne !
Guyh