Houles océanes vibrantes
Berceau des mots gracieux
là où l’amour s’enivre chante
sur les flots aux reflets lumineux
Avec les ondes dans le jour et la nuit
Sources d’un langage secret
aux regards des yeux sans bruit
que le coeur prodige traduit
Collines de l’aube en émoi
devant le soleil enchanteur
traçant la miraculeuse voie
d’un renouveau des lueurs
Papillon aux ailes palpitantes
sur le cône du volcan incrusté
Ah ! tes lèvres mordantes
le sein d’un amour enflammé
rivedusoleil
19/10/2018
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Ah ! si seulement avec une goutte de poésie ou d'amour nous pouvions apaiser la haine du monde !
Résidence sur la Terre (1935) Pablo Neruda
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