Alors mon Chibani, ou étais-tu parti ?
tirer sur quelques vers avec ton vieux fusil
Laissant à l'abandon l'Aède cet ami
Au milieu du grand fleuve celui de l'oasis
Alors qu'il se noyait ton poème gravit
Le temps avec lenteur pour arriver ici
Et ce sont tous mes pieds ajustés que tu lis
J'ai mis ce qu'il fallait les z'ai-je bien écrit ?
----------------
Quand le poème a des beautés, quelques taches ne me choquent pas