Les jours se suivent, mais ne se ressemblent pas !
C'est le cas des beaux jours, où je suis dans tes bras.
Il n'y a rien de semblable qu'Ã ces jours sans pareils
Que l'on cueille de l'amour ces douceurs les merveilles.
Il n'y a pas pour moi, plus grande source d'allégresse
Que d'explorer ton corps, que tu exposes à mes caresses.
Rien n'est plus émouvant que d'entamer ces préliminaires
Procurant cette joie faisant l'effet des toutes premières !
En m'inondant de l'ivresse, au cœur accentuant le désir !
Sur ta peau sensuelle, le parsemant de mes baisers;
Mon corps en épousant le tien, quand disposé à assouvir !
Au franchissement de la porte dans la débauche de plaisir;
La pénétration dans la douceur, dans cet indicible bonheur.
En cueillant avec toi ce que l'amour offre de plus doux !
Ce dont le cœur et l'âme sont extrêmement, sans fin jaloux.
Voici pourquoi mignonne chaque dimanche languissant;
J'attends de vivre d'amour, l'intense bonheur éblouissant.
Délectant langoureusement de toi, le nectar de vie, divin !
Ces jours là , joyeusement; le cœur et l'âme pleins d'entrain.
Vivre d'amour en chœur, il n'y a rien de plus beau sur terre;
Auquel se dévouer, à deux; passionnément la vie entière.
Guyh