Re: J'allais sciemment naître à l'amour.
A force de concéder, on finit par céder, alors on ne se reconnaît plus nous-mêmes, juste fantômes de nos apparences. A nous de reprendre nos espaces de liberté, quand bien même ils nous mèneraient vers de nouvelles contrées... Qui vous aime vous suivra, sinon, ça devait se finir ainsi.
C'est une belle réflexion qui mérite que chacun se la porte avant que de se perdre dans le néant et de n'être plus soi.
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c'est toujours quand il est parti qu'on se rend compte que le bonheur était là!