Tu es dans mon esprit cette étoile filante
Illuminant les vieilles routes rouillées
Avec les images ombrées d’un passé pendantes
Sur l’horizon crépusculaire brouillé
Sur l’océan de la nuit immense
Tu serpentes les arbres aux cimes étoilées
Dans le cœur des rêves enracinés
Nourris aux fibres d’espérance
Mûries aux chaleurs des chaudes prières
Mordant les soleils de vieux amours
Les graines ensemencées dans les airs
Germent sur les cendres des beaux jours
Là où la nostalgie aux souvenirs fait la cour
Enrobent de lumière la nuit des cœurs
Avec les vagues de jeunesse de retour
Tissant des plages de lueurs
rivedusoleil
17/7/2018
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Ah ! si seulement avec une goutte de poésie ou d'amour nous pouvions apaiser la haine du monde !
Résidence sur la Terre (1935) Pablo Neruda
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