Me parle des amours mortes: Le vent...
Un voyageur impénitent... Le vent...
Écoutez ce joli langage ,tendez l'ouïe,
Entendez cette symphonie, et son secret,
Un air doux qui chante par une nuit,
Une sérénade bonne à écouter.
Le matin,un vent léger caressant les cimes,
Câlinant les branchages, pliant les feuilles,
Buvant les gouttelettes de rosées intimes,
Et comme s'il raconte un conte ou des merveilles.
Son parcours n'a ni début ni fin,il voyage,
Éternel troubadour ,altier ,fier et arrogant,
Il narre les contrées où il a fait ravage,
D'autres où il n'était qu'un modeste passant.
Il connait le chagrin,la joie la tristesse la gaité,
Il a rafraichi par un soir d'été les amants ,
Il connait leurs secrets les plus assermentés,
Et il est la garant des climats les plus ambiants.
Il connaît tous les rouages des amours éternelles,
Leurs sincérité et leur fidélité réelles,
Et quand je me sens triste ,je m'isole,
Et j'attends son inopinée venue qui me console.
©Arslane.........     22052018
( Texte protégé).
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Quand un poème me plaît ,je l commente en toute honnêteté et sans aucune complaisance de pseudo...
Arslane..
