Je regarde mon nombril comme le centre du monde Et quand je perds mes repères je pense à ma Mère Si sensible je suis je peux pleurer en une seconde Juste en l'imaginant comme l'enfant sans son père
Mais il y a bien pire encore en regardant le décor Mon âme et mon esprit vivent toujours en sursis Les silences valent de l'or enfermés dans ce corps Comme dans une chasse aux trésors avec des si
Mais même défendu le fruit fait toujours du bruit Passer du temps à dormir sans tomber en somme Je me souviens que j'ai poussé mon premier cri Dans les pommes je me relève je suis un homme
Mais je deviens fou avec ce cordon autour du cou Je rêve d'évasion j'attends le jour de la libération Quand ma réalité me rattrape je suis sans un sou Maman je t'aime toute ma richesse en admiration
Merci Capricorne toutes mes félicitations pour ta nomination et quel charmant poème d'Eolienne, merci encore pour ta présence... Mes amitiés
Merci luzdelsol oui effectivement surtout avec les dents Merci pour ton passage
Merci Sybilla toujours là ça fait plaisir, merci pour tes mots et tes visites
Merci Denise12 pour ton appréciation et oui une maman est une bénédiction du moins pour certains, moi j'ai de la chance
Merci Oeildefaucon pour ta visite et pour ton message Mes Amitiés
Merci EvilFranck toujours présent dès mes débuts ça me fait plaisir, mais je ne supporte pas le vouvoiement je ne sais pas pourquoi Mes Amitiés et encore merci
Ce petit texte n'est pas triste ou émouvant, j'ai de la chance d'avoir encore ma maman qui a 77 ans, je l'aime comme un enfant