LES MAZARINADES, et d'autres
Temps bénis, haïs, quand un grand chef dirige
le pays certes mais sans oublier son portefeuille;
tu dois applaudir ,toi son humble homme-lige
bosse petit lambda, tes fruits il ramasse et cueille.
Toujours au service de quelqu'un, de l'Europe
les chefs d'états soi-disant des copains, façade;
malgré ces mimiques perce le grand misanthrope
pour ton bonheur, en réalité le sien, lapalissade.
Jules un chaud lapin, insatiable séducteur
recoins et autres du palais inadéquats visités;
service rapide, le travail, peu lui chô à ce bretteur
vie secrète des chefs d'états, une simple banalité.
Accepté au début, peu aimé, décisions importunes
l'étroit landerneau journalistique parisien renâcle;
accrochés à leur petit bien-être, peur de l'infortune
fayots, cireurs de pompes, du chef encenser les oracles.
Jules laisse dire, bavés crapauds, aboyés chiens
j'accumule, deviens la première fortune, normal;
je vous assomme de mes dictas, bon rhétoricien
verrouiller, placer mes amis, mon pouvoir optimal.
Jusqu'Ã quand subir et supporter ce potentat
royauté, démocratie, la recette ,la lettre de cachet;
avec l'expérience on sait comment s'améliore le despotat
bientôt tu auras la main ou la tête sur le tronchet.
Jules avait l'intelligence de laisser dire et jacter
il apprit la diplomatie sur le terrain ,pas à l'école.
LE TROUBA D' OC
ochodedemer34@aol.com
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la vie est belle a la retraite que tu en ai 60 ou 70 ou plus si tu es en bonne santé! tamalou? mot a eviter;
les poemes un passe-temps sans aucune pretention dans la beauté de l'aurore avec le soleil qui me fait des levers pharaonique sur la mer...