Qu’il garde ses yeux ouverts Que je plonge dans ses cris Même quand il me sourit Me noyer dans son énigme Ô divin mystère Il est doux et austère D’un ciel bleu D’aucun temps nuageux De ces murs peints à la chaux Qui ne portent ni photos ni tableaux... Mais qu’il garde ses yeux ouverts J’y plongerai et à coup sûr Adoucirai ses blessures…