Est ce que l'amour n'a pas convaincu assez pour laisser place à la Violence ;l'amour ne ferait-il plus recette ?
Ecrire pour revenir à soi ,habiller un souvenir d'éternité
Ta beauté aide à cicatriser
La conscience s'éveille , les pensées ,pas le corps pourtant avec le corps
Que tu as , je te voyais avoir toujours un sourire , beaucoup de Courtisans ,très occupée par des rendez-vous ,
Mais tu es assise sur le rebord d'une fenêtre
De ce qui fut une fenêtre qui est cassée ,il n'y a plus qu'un morceau de Mur,tes jambes d'un côté ,ton regard de l'autre
Dans un cadre , bien encadré mais ce n'est que la conscience d'un Peintre qui t'imagine , que le fond est réel
J'aurais du le voir au premier coup d'oeil ,tu portes une robe d'été
Ce n'est qu'un voile pourtant ,il suffit de l'ôter
Comme les mots que tu n'as pas compris, inclus dans le cadre de la Poésie peut -être trop émue car j'ai fait ressortir la femme en toi
Cette femme qui ne voulait plus être femme le temps d'une échappée
N'être qu'un être sur lequel on ne dit rien , anonyme
Un peu comme un docteur en vacances que l'on viendrait importuner
Je me suis laissé avoir comme dans une histoire et pourtant je
Connais bien les ficelles
Mais je n'ose te dire combien j'ai vu dans les ruines
La vie qui transparaît malgré les tas de pierres , les vestiges de ce qui
Fut ;quand une pierre roule n'est pas signe de quelqu'un qui l'a
Poussée ,je suis là ;les colonnes qui se montre vertigineuse quand je Les prends en photo toute leur fierté d'autrefois sur la pointe de leur soubassement :ne sont plus qu'une colonne , un entrefilet dans une poésie
Toi à qui j'ai fait peur , n'est plus que ruine sous le soleil :voici ce qui a été dit l'ombre d'un grand spectacle ,mise en scène qu'active un guide à faire revivre
Et quand cette petite tache noire quand tu repars ,qui ne s'en va pas même quand il n'y a plus de soleil ,quelqu'un qui attend des larmes Qui coulent
quand tu viendrais t'asseoir
Je crois ne jamais plus te revoir imaginer le pire
Une femme dans la foule ,incognito ,moment d'intimité ,de liberté
Pas le moment de dire je t'aime
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domi.gondrand@laposte.net