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     LA DAME BLANCHE
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Expéditeur Conversation
ruedespoemes
Envoyé le :  25/3/2018 9:28
Plume de satin
Inscrit le: 23/3/2018
De:
Envois: 18
LA DAME BLANCHE





LA DAME BLANCHE,

Tu as couru vers moi, sans me connaître. Sans doute devais-je t’inspirer confiance. Pourtant j’avais une drôle d’allure à cet instant-là. Sale, mal habillé, fatigué, un peu désespéré. Mon sac sur l’épaule, avec quelques affaires pour me changer. J’aurais plutôt dû te faire peur. Pourtant tu es venu vers moi en courant. Tu t’es arrêté à quelques pas de moi et tu m’as regardé intensément. Tu es resté longtemps sans parler ni faire un geste. Le temps s’est arrêté. Il y avait un grand silence autour de nous.
Tu as fait un pas vers moi en souriant et en disant :
« Qui es-tu ?
- Je t’ai souri à mon tour et j’ai dit :
- Je m’appelle François, et toi ? »
Tu n’as pas répondu et tu es parti en courant en me faisant signe de te suivre.
Je me suis remis à marcher d’un pas rapide car tu étais déjà bien loin devant moi.
Tu suivais la rivière en courant.
Nous étions seuls. J’avais beau regarder de tous les côtés, je ne voyais personne. Pas même un animal.
Et tout à coup, à l’endroit où la rivière tourne, j’ai vu apparaître une maison.
Je me suis mis à courir et je t’ai rattrapé. Tu m’as pris la main en disant :
« Viens, là, c’est chez moi. »
Tu me désignais du doigt la maison. C’était une demeure toute blanche qui semblait assez grande.
« Viens, viens, n’aie pas peur. »
Bien sûr que je n’avais pas peur et que je te suivais.
Tu ouvris la porte de l’entrée en disant :
« Maman, je t’amène François. »
Une femme tout de blanc vêtue, jeune et belle, sortant d’une autre pièce, vint à nous en disant :
« Soyez le bienvenu chez nous. »
Elle me regarda d’un air étonné.
« Que faites-vous par ici ? »
Je regardai autour de moi fasciné. Les murs de l’entrée étaient tout blancs. Il y avait un immense bahut bas en chêne et un fusil était accroché au mur, un très vieux fusil, qui venait vraisemblablement d’un autre pays. Il n’y avait rien d’autre dans l’entrée, à part un chandelier et deux vases posés sur le bahut.
Je jetai un regard à la femme qui était devant moi. Elle semblait n’avoir pas plus de vingt-cinq ans, était très brune, les cheveux brillants. Comme je l’ai déjà dit, elle était tout de blanc vêtue. Elle devait être indienne et portait un sari. Elle marchait pieds nus.
Sur le sari, elle portait un grand collier en émeraudes. Chacun de ses doigts portait une bague, celles-ci étaient toutes de couleurs différentes. Elle avait de grands yeux noirs et la peau très brune. Ses lèvres étaient légèrement colorées de rouge.
« Je m’appelle Uma, soyez le bienvenu dans ma maison, et voici mon fils Jivan.
- Je m’appelle François.
- Suivez-moi François, dit-elle. »
Elle ouvrit une porte et me fit pénétrer dans une immense pièce, elle aussi toute blanche. Les meubles étaient bas, sur le sol étaient posés des tapis épais de toutes les couleurs. Il y avait aussi trois divans très bas, de couleur jaune.
« Venez-vous asseoir, dit-elle. »
Je fis ce qu’elle dit, et Jivan son fils, vint s’asseoir, par terre, près de moi. Il me regardait avec ses immenses yeux noirs. Il avait les yeux de sa mère, mais sa peau était plus claire et seul le haut du visage rappelait sa maman.
« Excusez-moi de m’introduire ainsi chez vous, mais j’ai croisé votre fils sur le chemin et il m’a dit de le suivre jusqu’ici. Ma curiosité a fait le reste. Je me présente : François Delcourt, je suis de passage et ma voiture est tombée en panne pas très loin d’ici.
- Il y a un garage dans le village. Voulez-vous appeler ?
- Je veux bien merci.
- Je vais chercher le numéro du garage, dit-elle. Voulez-vous du thé ?
- Oui, merci.
- Je vous apporte cela dans un petit instant, dit-elle en disparaissant. »
J’étais ébloui par sa beauté, par sa voix si douce, par le léger parfum qui se dégageait d’elle.
« Elle est belle ma mère, hein ! Me dit Jivan.
- Oui très belle, quel âge as-tu ?
- Cinq ans et toi ?
- Un peu plus, quarante-huit.
- Tu es vieux.
- Si tu le dis !
- Oui enfin pas trop vieux quand mĂŞme, et tu es plutĂ´t sympa.
- Merci, j’en suis heureux. »
Uma revenait, elle posa un plateau sur la table basse. Elle versa le thé qui fumait dans deux tasses et me donna un numéro de téléphone.
« Buvez votre thé, après vous pourrez téléphoner.
- Merci, en plus mon portable est déchargé.
- Vous pouvez vous servir du mien. »
Je bus mon thé lentement. Je réfléchissais. Qui était Uma ? Une Hindoue certainement. Que faisait-elle dans cet endroit de L’Indre, si loin de son pays ?
Après avoir fini mon thé, elle me tendit son portable et je pus téléphoner au garagiste en lui expliquant où se trouvait ma voiture et en lui demandant de faire le nécessaire.
« Il va s’en occuper, je vous remercie, dis-je à Uma.
- C’est normal, le voyageur égaré et dans le besoin est toujours le bienvenu dans cette maison.
- Qui ĂŞtes-vous ?
- Je suis Uma.
- Je sais, mais qui ĂŞtes-vous vraiment ?
- Je suis une sorcière, dit-elle en riant.
- Une sorcière !
- Du moins c’est ce que les gens du coin disent.
- Nous sommes dans le pays des sorcières, ici les gens sont très superstitieux.
- Oui, on le dit, mais moi je suis la sorcière venue d’ailleurs.
- D’Inde ?
- Oui, bien que j’aie quitté ce pays quand j’étais toute gamine, il y a très longtemps.
- Très longtemps ? Vous ne paraissez pas très âgée pourtant.
- Vous me donnez quel âge ?
- Dans les vingt-cinq ans environ.
- Vous êtes bien loin du compte François, j’en ai quarante-cinq.
- Vous plaisantez !
- Pas du tout, je vais avoir quarante-cinq ans au mois de juillet.
- Comment faites-vous pour paraître si jeune ?
- C’est de la sorcellerie, dit-elle en éclatant de rire. »
Moi je ne riais pas. Cette femme ne pouvait pas avoir l’âge qu’elle disait, elle paraissait très jeune, pas une ride, sa peau était fraîche, une peau de jeune fille. Tout chez elle indiquait la jeunesse. L’enfant avait cinq ans, elle l’aurait donc eu à quarante ans, ce qui bien sûr était possible. Quant à dire qu’elle était sorcière, évidemment je n’en croyais pas un mot. Pourtant, plus je réfléchissais et plus je me disais que l’atmosphère de cette maison était étrange. Tout paraissait si calme, si reposant. C’était comme si on se trouvait dans une église ou une mosquée, sauf qu’il n’y avait pas la résonance que l’on trouvait généralement dans ces lieux.
« - Vous rêvez, demanda-t-elle ?
- Non, je réfléchissais sur vous, sur votre âge, pourquoi êtes-vous habillée tout en blanc ?
- Le blanc représente la pureté, la lumière.
- Et vous êtes la lumière ? dis-je en souriant.
- Je suis là pour apporter une certaine lumière, une grande pureté, et faire que les gens qui me le demandent, parviennent à rester sur une ligne droite qui conduit justement à la pureté et à la lumière. »
Je n’ai pas souri, je l’ai regardé intensément. Elle n’a pas baissé les yeux, au contraire. Ses yeux fixaient les miens et c’est moi qui, au bout d’un moment, finit par céder et les baisser.
- Voulez-vous encore un peu de thé ?
Je revins sur terre à ces paroles. Je m’aperçus à cet instant que Jivan avait disparu. J’étais seul avec la dame blanche, comme je l’appelais déjà à cet instant.
Son portable sonna et me fit revenir complètement à la réalité. Elle décrocha et parla en me tournant le dos et en s’éloignant un peu de moi. Quand elle eut raccroché, elle me dit :
« C’était le garagiste, il a récupéré votre voiture, mais elle ne sera prête que demain.
- Demain, eh bien je n’ai plus qu’à trouver un hôtel pour cette nuit. Il y en a bien un au village ?
- Il y a en effet un hôtel au village, mais si vous voulez profiter de mon hospitalité, c’est avec grand plaisir que je vous propose de passer la nuit ici, si bien entendu vous n’avez pas peur de passer la nuit sous le toit d’une sorcière. »
Je la regardais, elle riait, son rire était clair, pur, sans arrière pensée.
« -J’accepte volontiers, si cela ne vous dérange pas.
- Je vais vous montrer votre chambre et la salle de bain, vous avez l’air d’en avoir besoin.
- Il est vrai qu’un bain me ferait le plus grand bien.
- Suivez-moi, dit-elle. »
Elle me fit monter à l’étage, m’ouvrit une porte et me montra ma chambre, puis la salle de bain qui se trouvait au bout du couloir. Elle se retira sans un mot et je la vis descendre l’escalier. Je revins à la chambre, comme toutes les pièces que j’avais vues jusqu’à maintenant, celle-ci aussi était blanche. Les meubles étaient en chêne clair et la pièce était meublée sobrement, mais semblait très confortable. Sur le mur en face du lit, il y avait la photo d’un homme habillé de blanc, un Hindou lui aussi, peut-être son mari ! Mais qu’aurait fait la photo de son mari dans une chambre d’ami ? Et puis était-elle mariée ? Je me déshabillai et me rendis dans la salle de bain, une serviette blanche nouée autour de la taille. Je m’apprêtais à passer ma première nuit dans la maison de la Dame Blanche. Il était dix-huit heures quand je sortis de la chambre, lavé, changé, tout propre, et en pleine forme. Je descendis l’escalier et me dirigeai vers le salon. Il était vide. Je fis demi-tour et sortis. Il faisait chaud et l’air était chargé de poussières. Je ne vis personne dehors. Je me dirigeai vers la rivière et je m’assis dans l’herbe au pied d’un arbre. Je vis au loin un cygne qui semblait glisser sur l’eau limpide. Cet endroit respirait le silence et semblait apporter une grande sérénité, je m’y sentais bien.
J’étais en dehors de la réalité, comme dans un autre monde, et je sursautai quand une main se posa sur mon épaule. Une main fine et pleine de bagues.
« Vous méditez François ? »
Je levai la tête, Uma se tenait derrière moi. Son visage souriait. Sa main posée sur mon épaule semblait dégager une chaleur qui descendait en moi et que je ressentais malgré la température déjà très chaude ce jour-là.
« Je ne sais pas méditer, je profite de la tranquillité de ce lieu. »
Elle ne répondit pas, mais sa main se fit plus pesante sur mon épaule. Je ressentis à ce moment là des vibrations qui semblaient descendre dans ma colonne vertébrale. Je me sentais bien et je n’osais pas bouger.
« Prenez cela dit-elle. »
Elle me tendait une pierre.
« C’est quoi ? Dis-je en prenant l’objet. »
« C’est un cristal, il est très pur, il vient d’Arkansas. Gardez-le précieusement et ne laissez personne y toucher, je l’ai magnétisé, il vous protégera.
- Je ne crois pas Ă  ces choses-lĂ  Uma.
- Vous avez bien besoin d’être protégé François.
- Comment savez-vous cela ?
- Je sais déjà beaucoup de choses sur vous.
- Non !
- Si ! Vous ne me croyez pas ?
- Bien sûr que non !
- Il y a quelque temps, vous avez perdu votre épouse. Une femme que vous aimiez beaucoup. Vous avez eu beaucoup de mal à vous en remettre, d’ailleurs vous n’avez pas encore réussi à faire le deuil, et vous en souffrez, n’est-ce pas ? »
Je ne répondis pas, j’étais angoissé, bien sûr qu’elle avait dit la vérité, mais comment avait-elle deviné ? La mort de ma femme ne se voyait quand même pas sur mon visage.
« Votre prénom n’est pas François !
- Vous avez fouillé dans mes affaires !
- Vous plaisantez j’espère, dit-elle en retirant sa main de mon épaule.
- Excusez-moi, je ne pensais pas ce que j’ai dit.
- Je le sais bien, mais soyez prudent quand vous parlez, ne vous laissez pas entraîner par la colère ou la haine.
- Ce ne sont que des paroles Uma.
- Il est quelquefois plus courageux de ne pas répliquer par la violence. Les mots pleins de douceur sont beaucoup plus difficiles à prononcer que les mots durs, ceux qui font mal.
- Je ne crois pas en tout cela, mais je vais quand mĂŞme garder votre talisman.
- Merci François.
- Au fait, madame la sorcière, dis-je en riant, quel est mon prénom ?
- Vous avez choisi de vous faire appeler François, alors pourquoi dire autre chose ?
- Vous avez raison.
- Nous dînons tôt ici. Dix-neuf heures précises.
- Bien madame. »
Elle s’éloigna doucement et disparut à mon regard, au tournant de la rivière. Au bout d’un long moment, je me décidai à rentrer et tranquillement, je remontai vers la maison.
« Par ici François, me dit Jivan en m’entendant rentrer dans la maison. »
Je le suivis jusqu’à la cuisine. C’était une cuisine très moderne à l’Américaine, ouverte sur une immense salle à manger.
« Nous allons dîner ici, me dit Uma, si cela ne vous dérange pas. »
Je m’installai donc entre elle et son fils. »
Le repas me parut un peu frugal.
« Nous ne mangeons jamais de viande, j’espère que cela vous ira quand même. »
Une salade de tomates, du concombre assaisonné avec du citron, du riz avec une sauce un peu pimentée et des fruits. C’est vrai que pour moi qui était un accro de la viande rouge, ce repas me parut un peu léger.
Pourtant à la fin du dîner, je me sentais bien. Une tasse de thé suivit et Uma desservit la table en disant à Jivan :
« Vas regarder un peu la télé si tu veux, je dois parler à François. »
Le garçon quitta la pièce pour rejoindre le salon.
Uma s’assit en face de moi dans la cuisine et me dit :
« Avez-vous quelque chose à me dire François ? »
Je fis non de la tĂŞte.
« Bien dit-elle. Je ne peux vous forcer. Sachez pourtant qu’il est quelquefois bon de parler à quelqu’un. Cela peut soulager le coeur et l’esprit. Mais bien entendu, il faut que le moment soit venu, et, pour vous, cet instant n’est pas encore arrivé. Sachez que, quand le moment surgira, je serai toujours disponible pour écouter ce que vous avez de caché au fond de vous et qui vous torture. Si simplement une chose peut vous rassurer, Julia est très bien où elle est, ne vous faites pas de soucis pour elle, et il ne tient qu’à vous pour qu’elle soit encore mieux.
- Que voulez-vous dire ? Comment pouvez-vous dire que ma femme est bien oĂą elle est !
- Parce que je le sais, c’est tout, il vous faut encore un peu de temps, je vous aiderai François. Pour en revenir à Julia, un jour viendra où vous aurez le coeur et l’âme en paix, et là, enfin, votre femme pourra goûter la sérénité complète ! Je ne vous en dis pas plus là-
dessus pour aujourd’hui, ayez confiance en moi. Par contre en ce qui vous concerne, votre âme est torturée, et là aussi je peux vous aider mais il faut que vous le vouliez.
- Quel est mon nom ?
- Vous ne vous appelez pas François, mais votre vrai prénom comme votre nom reste un mystère puisque vous en changez souvent.
- C’est exact, mais comment savez-vous tout cela ?
- Je suis une sorcière, mais une gentille sorcière, maintenant François, ne me mettez jamais plus à l’épreuve. Dans la vie, il faut faire confiance et non penser que les gens mentent toujours. Ayez confiance en vous et les autres vous le rendront. Maintenant je vais coucher Jivan. Demain nous ne serons pas là. Quand vous partirez, soyez gentil de fermer la porte à clé et de la mettre dans le deuxième pot de fleurs, celui qui est bleu.
- Vous reverrai-je ?
- Quand vous le désirerez vraiment, quand vous serez prêt à affronter votre conscience, vous pourrez revenir. Je vous souhaite bonne chance François. Le village est à deux kilomètres d’ici et le garage se trouve sur la place, en face de l’église. »
Elle sortit sans un mot de plus. J’attendis un instant et me servis un verre d’eau, puis tranquillement je montai dans ma chambre. Dire que j’étais serein serait beaucoup dire, mais je me sentais tranquille et le coeur plus léger. Je serrais dans ma main le cristal que m’avait donné Uma. Cette nuit, il dormirait avec moi. J’étais sûr que cette nuit-là, je trouverais enfin le sommeil.
cyrael
Envoyé le :  26/3/2018 10:21
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 30/10/2005
De: ****
Envois: 83079
Re: LA DAME BLANCHE
une personne bienvaillante
qui a su vous apporter ce qui vous manquait

une merveilleuse lecture

C’est quoi ? Dis-je en prenant l’objet. »
« C’est un cristal, il est très pur, il vient d’Arkansas. Gardez-le précieusement et ne laissez personne y toucher, je l’ai magnétisé, il vous protégera.
- Je ne crois pas Ă  ces choses-lĂ  Uma.
- Vous avez bien besoin d’être protégé François.
- Comment savez-vous cela ?
- Je sais déjà beaucoup de choses sur vous.
- Non !
- Si ! Vous ne me croyez pas ?
- Bien sûr que non !
- Il y a quelque temps, vous avez perdu votre Ă©pouse.

j'aime bien la fin de ce long récit..

Je ne vous en dis pas plus lĂ -
dessus pour aujourd’hui, ayez confiance en moi. Par contre en ce qui vous concerne, votre âme est torturée, et là aussi je peux vous aider mais il faut que vous le vouliez.
- Quel est mon nom ?
- Vous ne vous appelez pas François,

il s'en dégage enfin....
une belle sérénité retrouvée grâce aux
conseils, de cette dame blanche


( le cristal n'est pas magicien°)
C'est un objet.....

,mais l'esprit
de François s'est éveillé,
il est Ă  nouveau
Ă  l'Ă©coute..de lui mĂŞme,
il essaie
de retrouver une forme d'apaisement qui lui aidera
Ă  mieux s'endormir..

morale: il faut toujours garder la force
en soi pour vouloir vraiment
un jour , sortir de notre isolement..

que ce soit moral ou physique

rien n'est jamais
perdu, il suffit de Vouloir...

Et,Croire en soi !!!!!!!!!!!!



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EVE LYNE Nadine poète d'OASIS mon amie, merci pour tout

adn
Envoyé le :  27/3/2018 17:27
Plume de diamant
Inscrit le: 24/6/2007
De: Landes
Envois: 17432
Re: LA DAME BLANCHE
Un texte très vivant et très agréable à lire. Je ne me suis pas ennuyé une seconde.
Bravo.

Adn


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