Prés de la fenêtre s'ouvrant sur les toits crépusculaires
Où les derniers embrasements s'allongent
Sur les zincs grisés que l'Ombre lentement ronge
Tu contemples Paris telle mon âme gémellaire.

Agrippant ton pull que lentement tu remontes
Dévoilant à l'embrasement ton dos et tes épaules nus
Pendant que ton col roulé avale ta chevelure drue
Puis la délivre dans une liberté rebelle et prompte.

Je pose un baiser sur ton cou mon adorée
Alors que tes mains agiles font glisser le zip
De ta jupe qui sans un bruit glisse à nos pieds
Les derniers sunlights nous la jouent comme un strip.

la Lune a remplacé le fugace soleil dans le ciel ,
Un rayon doré se faufile à travers le rideaux
Posant un baiser de paillettes d'or sur ta peau ,
La fièvre d'Hécate posée sur ton sein m'ensorcelle.

Telle Sappho s'offrant à la passion tu t'immobilises
Entrouvrant tes lévres à l'opalescente clarté ,
J'écoute les soupirs offerts à la Déesse adorée ,
Mélopée impudique de sa fervente promise.

le dernier quatrain est sensuel
et beau ,

vive le désir, la passion...qui inspire votre plume

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Merci de ton commentaire

Jean-Pierre

quel style

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domi.gondrand@laposte.net

J'aimmme!
Driss

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Prétendre salir l'autre,ne nous nettoie point de nos saletés!!

Driss